POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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i've missed your calls for months it seems don't realize how mean i can be 'cause i can sometimes treat the people that i love like jewelry 'cause i can change my mind each day i didn't mean to try you on but i still know your birthday and your mother's favorite song so i'm sorry to my unknown lover sorry that i can't believe that anybody ever really starts to fall in love with me sorry i could be so blind didn't mean to leave you and all of the things that we had behind i run away when things are good and never really understood the way you laid your eyes on me in ways that no one ever could and so it seems i broke your heart my ignorance has struck again i failed to see it from the start and tore you open 'til the end
L'espoir d'un lendemain sans fin, fracassé aussi violemment qu'une brise fraîche ferait s'éparpiller dans l'air des feuilles trépassées, le ciel aussi sombre que ceux qui démotivaient les bon sorciers à continuer dans le chemin raisonnable, les prunelles des habitants sous ce dernier couvert de nuages ancrant leurs prunelles dans l'encre de ses constellations.
Oui, la dernière année de Poudlard était enfin arrivée.
La vieille valise usée et pleine, la cabine de train aussi vide que son coeur, les sombrals désormais visibles à ses iris qui transportaient les élèves ne semblant eux, pas tous les voir, la chorale de Poudlard chantant avec harmonie leur hymne accompagnés de leurs énormes crapauds, Azëlind observait chaque détail passer un peu plus lentement que le précédent, le coude contre la grande table boisé de sa maison, menton incrusté dans sa paume de main, l'estomac creux et sans la moindre envie de goûter au festin devant ses yeux s'avérant pourtant des plus appétissants, tandis que derrière elle, la puissante voix du choipeaux criait sur les premières années leurs maisons respectives.
Serait-ce donc cela, son dernier souvenir de rentrée à Poudlard? Parmis la foule, elle distinguait plusieurs mangemorts dispersés dans chaque maison, discutant tranquillement avec leurs camarades sans que personne ne se doute que le château commençait à se peupler d'eux qui semblaient éclore tel des mauvaises herbes, trop rapidement et qu'on voudrait arracher sur le champ.
Et parmis eux, ses iris croisèrent ceux de Severus Rogue qui la fixa de la même manière, l'angoisse suintant dans le creux de ses boyaux à l'idée que cet abruti puisse la trahir. Mais après tout, pourquoi le ferrait-il? Lui aussi, était mangemort, lui aussi, risquait de révéler son identité. Cependant, Azëlind connaissait Servilus Rogue depuis assez longtemps pour savoir que ce sale rat était prêt à tout pour parvenir à ses fin et les plonger avec lui, quitte à sauter le premier la tête en avant.
Dumbledore c'était avéré à égosiller son discours habituel, qu'une aide serait toujours apportée de Poudlard ou de lui à ceux dans le besoin, mais bien sûr, et rajouta cette année là à ses élèves de faire preuve d'une énorme prudence, les ténèbres s'éparpillant apparement de partout. Oh tu n'as pas idée d'à quel point c'est le cas, mon vieux.