POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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don't cry, snowman, not in front of me who'll catch your tears if you can't catch me, darling? if you can't catch me, darling don't cry, snowman, don't leave me this way a puddle of water can't hold me close, baby can't hold me close, baby i want you to know that i'm never leaving 'cause i'm Mrs. Snow, 'til death we'll be freezing yeah, you are my home, my home for all seasons so come on, let's go let's go below zero and hide from the sun i love you forever where we'll have some fun yes, let's hit the North Pole and live happily
— GRYFFONDOR! GRYFFONDOR! GRYFFONDOR! La foule rouges et jaunes ciclèrent à pleins poumons, la joie les emplissant, acclamant leur équipe magistrale de quidditch dans leur salle commune.
Des lions miniatures se baladaient d'épaules en épaules en frictionnant leurs fourrures contre les nuques de certains et les bras d'autres et les pétards mouillés du docteur filbuste se partageaient par centaines entre les élèves, créant une ribambelle d'explosions sans chaleur et de geysers de couleurs vives contre le haut plafond.
Toutes sortes de boissons, alcoolisées et non, jonchaient sur une grande table servie habituellement pour les révisions, colorant de plusieurs teintes son vieux bois craquant. Hydromel, Rhum groseille, Vodka coca, bière au beurre et un tas d'autres fluides édulcorés.
Le match avait été mémorable, et même Minerva Mcgonagall, directrice de leur maison et grande fan de quidditch, avait laissée échappée plusieurs légers cris de joie sur le terrain.
Pour fêter tout cela, Sirius, à l'aide de sa baguette, jeta un charme amplificateur sur la vieille platine dans la salle, laissant la musique s'insinuer dans les tympans de chacun.
James retirait déjà son maillot de sport, le faisait tournoyer au dessus de sa tête sous les regards honteux des tableaux de la salle qui allèrent, comme à chaque fête, se réfugier dans d'autres oeuvres très loin d'ici.
Les fantômes de la maison, eux, au contraire, aimaient s'incruster parmi les élèves, faire la fête avec eux, passer à travers leurs corps en leur provoquant cet habituel effet de passer sous une cascade glacée.
Il faisait de plus en plus froid, en extérieure, alors les boissons alcoolisées qui réchauffaient le gosier et les estomacs n'était pas de refus, ainsi que les danses effrénés faisant transpirer chacun et augmentant la température dans la grande pièce.
Installée sur un fauteuil dans un coin reculé de la salle, Azëlind Targaryen, sur les genoux de Sirius Black, s'amusait à dévorer ses lèvres, ses paumes entourant sa physionomie en cajolant son épiderme de la pulpe de ses doigts, frôlant le tatouage du garçon derrière son oreille, le sien sur son poignet, lui, s'appuyant contre les pommettes du noiraud.
Ils s'embrassaient à pleine bouche avec hâte, tâtant leurs corps, se cramponnant fermement l'un à l'autre, leurs coeurs battant à l'unisson à un rythme erratique comme une seule et même mélodie, leur désir volant comme un halo de feu autour de leurs anatomies, la nuit les enveloppant comme un édredon et le parfum embaumant de la jeune femme posa son empreinte froide sur leurs joues echauffées et faisait briller toutes les étoiles dans leurs yeux.