29, 𝒕𝒓𝒂𝒈𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏.

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dyingmost nights, can't close my eyesif you leave, let me down gentlygot devils on my backtelling i I should end iti've been living in a hazeyou help me find some freedomif you leave, i'm begging pleaseyou gotta let me down gently'cause there's he...

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dying
most nights, can't close my eyes
if you leave, let me down gently
got devils on my back
telling i I should end it
i've been living in a haze
you help me find some freedom
if you leave, i'm begging please
you gotta let me down gently
'cause there's hell to pay
and imm drowning in debt








Les semaines s'écoulèrent tel une fontaine à sec, lentement, gouttelette par gouttelette, les parents de la jeune femme étaient infernaux, ignobles, ils ne s'arrêtaient jamais, à la demande de toujours plus.

Des leçons de magie sans arrêt qui l'épuisaient plus qu'habituellement pour cause de ses géniteurs l'obligeant à apprendre à l'aide de ses mains plutôt qu'avec sa baguette. Soit disant que les mains de grandes familles de sorciers contiendraient plus de magie qu'un simple bout de bois, mais l'énergie creuser en eux était aussi infiniment plus âcre.

Mais étrangement, malgré sa fatigue des plus intenses, Azëlind aimait ça. Se sentir forte, se sentir puissante.

Aujourd'hui était un grand jour pour sa famille, du moins, ses parents. Eux-mêmes, Servus et elle, iraient rejoindre Voldemort, Azëlind le rencontrerait pour la première fois, celui qui avait hanté ses songes des nuits durant l'an passé. Dire que l'angoisse et la terreur ne suintait pas ses pores serait mentir avidement.

Archibald avait été ordonné de rester à résidence, pourtant tellement inquiet pour sa soeur qui lui avait assuré milles et une fois que tout irait bien.

Les trois Targaryen et leur elf de maison c'étaient alors réunit dans leur immense salon, la mère agrippant fermement le bras de sa fille qui lança un dernier regard rassurant à son jeune frère avant que les trois ne transplanent ensemble jusqu'à l'allée des embrumes, à Barjow et Beurk, là où se trouvait déjà de nombreux mangemorts, les attendant tous.

La rue était des plus sombres, étroite, l'odeur infâme de moisie s'ingurgitant dans leurs narines comme un oxygène mal répertorié, leurs talons claquant sur les dalles en pierre, Almondiara pivotant la porte de la boutique d'un mouvement de main, le dos toujours droit, son menton de même, les traits fermés tirés dans une posture froide, hautains, mauvais.

La clochette du magasin retentissa dans l'air, vibrant contre les tympans d'Azëlind qui frissonna d'appréhension, franchissant le seuil de la porte, suivant ses parents, se rapprochant à pas lents et las des autres, l'odeur de moisie toujours présente mélangée à plusieurs mauvaises herbes où diverses potions aux émanations pestilentielles.

Parmis le tas de mangemort réunit dans un coin du magasin, face au vendeur qui les accueuillait tous avec des profondes courbettes, ses peu de cheveux blanc glissant devant ses grosses lunettes rondes à chaque fois, une voix se différencia parmis les autres.

Une gamine. Et qui plus est, une traitre. Avait ricané la voix grasse, rauque et écailleuse de l'homme dans un ton doucereux, attirant les bribes d'éclats de certains autour d'eux.

𝐁𝐎𝐑𝐍 𝐓𝐎 𝐃𝐈𝐄, sɪʀɪᴜs ʙʟᴀᴄᴋ.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant