63, 𝒍'𝒖𝒍𝒕𝒊𝒎𝒆 𝒉𝒐𝒓𝒄𝒓𝒖𝒙𝒆.

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Plus les mois passaient, plus les actes des alliés de Voldemort étaient de pires en pires

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Plus les mois passaient, plus les actes des alliés de Voldemort étaient de pires en pires. Le Seigneur des Ténèbres n'hésitait pas à contrôler quiconque lui résisterait avec un impero, et les sorts mosmordre gisaient de partout sur les lieux d'attaques, marquant le ciel de la marque des ténèbres.

Azëlind récoltait le plus de portoloins enchantés et parcourait souvent l'allée des embrumes qui n'avait jamais été aussi mal fréquenté. Son journal se remplissait un peu plus chaque jour, et jamais elle n'avait été autant surmenée. Elle ne restait jamais dans le même taudis, bougeait sans arrêt et restait cloîtrée dans l'ombre.

Par chance, tous n'étaient pas contre elle et son nom parmis ceux de l'ordre, ou du ministère. Elle avait reprit, sous la demande de Dumbledore, contact avec Alastor. En cas de grandes attaques ou de missions périlleuses, il était un allié de taille, lui qui se faisait connaître pour sa réputation de remplir de plus en plus de cellules à Azkaban, le pauvre garçon ayant d'ailleurs perdu un oeil en cours de route. Ils travaillaient ensemble sur certains projets dangereux, Dumbledore lui faisait confiance, d'après ce qu'il avait dit à Azëlind, mais n'avait pas jugé bon de parler à quiconque des horcruxes. Si Voldemort l'apprenait, il les réunirait tous avec lui. Il en avait juste fait une allusion brève, mais nul doute que Alastor Maugrey était un homme fort intelligent.

Dans un sourire en coin, Azëlind et Alastor s'échangèrent une poignée de main ferme, le jeune homme tapotant l'épaule de son amie en la fixant de son bon oeil, l'autre tournant en bourrique dans son écrin.

À la prochaine. Tentes de pas mourir d'ici là.

De même pour toi crétin.

C'est mal me connaître, ça. Il inclina sa tête vers le vieil homme qui était assit face à eux sur la chaise de son bureau. Albus.

Puis sans un mot de plus, il quitta le bureau circulaire en laissant les deux autres seuls.

Albus, j'aimerais..elle semblait hésiter.

Vas-y, Azëlind. Ne lèses pas tes mots.

Rien dans ce genre là. J'aimerais juste..pour mettre en action la suite de sa phrase, elle attrapa la poignée de sa valise qu'elle transportait de partout avec elle, la portant du sol pour la poser sur le bureau en bois et défaire les nombreux verrous. Des dizaines d'objets magiques -dont la main de la gloire-, des centaines de potions, de fioles, certaines avec des cheveux -probablement pour du polynectar-, toutes sortes de parties ou liquides d'animaux fantastiques, tout ce qui pourrait être utile à des potions existantes ou non et bien plus encore. J'avoue ne pas avoir pu encore me procurer de larmes de phénix, qui me seraient réellement d'une grande aide en cas de besoin. Si je pouvais..dans un geste élégant de la main, elle pointa Fumseck. Je ne serais le faire pleurer, cependant.

𝐁𝐎𝐑𝐍 𝐓𝐎 𝐃𝐈𝐄, sɪʀɪᴜs ʙʟᴀᴄᴋ.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant