POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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'cause all of the small things that you do are what remind me why i fell for you and when we're apart, and i'm missing you i close my eyes and all i see is you and the small things you do
Se prendre de plaisir d'observer une personne tandis qu'elle édifiait la plus simplette des banalités, comme..piailler des devoirs, creuser les muscles de son visage dans une douce joie en mordillant sa plume qui tâcherait par la suite sa lèvre, ou tout autre chose des plus..quotidiennes, et, observant ces actions, sourire sans le moindre effort car cette personne signifiait absolument tout pour celle qui souriait bêtement.
Sirius Black était celui qui était bête, actuellement. Oh oui, totalement bête pour elle.
Ses prunelles se perdant sur les traits de la jeune femme allongée sur le ventre, sur son lit, leurs livres éparpillés un peu partout, le brun dans la même position, ses yeux ne la lâchant pas tandis qu'elle, fixait leurs devoirs, ses jambes relevées, se balançant, et à ses pieds, les entourant, ses pantoufles qui foulaient précédemment le sol.
Venant repousser l'une de ses mèches de cheveux derrière son oreille à l'aide de la paume de ses doigts, son pouce glissa jusqu'à son menton qu'il agrippa délicatement, tournant son visage vers le sien, et laissant le doigt terminer son chemin sur sa lèvre qu'il frotta afin de retirer la tâche bleu sur cette dernière.
Le brun aurait pu tout donner pour la retirer d'une autre manière, avec une partie de son corps plus humide et plus désireuse de frôler ces lèvres que ne l'était son pouce. Bien plus.
Sirius qui ne pouvait contrôler ses émotions, Sirius apeuré de perdre ceux qu'il aimait, Sirius avec les iris pétillant d'adoration qu'il portait à Azëlind, comblant son regard face à celle sans qui sa cravate ne restait jamais en place, celle qui préférait souvent se battre de ses petits poings qu'avec sa baguette, celle qui n'avait plus de cauchemars depuis le début des vacances.
Probablement parce que, maintenant, sa maudite famille pensait qu'elle comptait les rejoindre dans leur volupté de tunnel sombre et mortel, et par conséquent, Voldemort pensant probablement de même.
Telle une âme en peine, Sirius savait qu'elle saigne, les larmes qu'elle sème.
Et il repensait à ce qu'elle lui avait dit une fois, les iris perdus dans le vide.
« Contrairement aux autres moi je crois que les opportunités sont toujours présentes autour de nous, la chance c'est de savoir les saisir avant qu'elles ne nous filent entre les doigts. »
Parlait-elle de leurs familles, de tout les deux, où de tout autre chose?
Le sorcier n'en savait rien, mais cette chance en tout cas, ils ne l'avaient pas. Aucun des deux, pour aucun des sujets. Quelle bande d'enfants maudits...