POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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Le petit Harry Potter vit le jour un beau matin ensoleillé de trente-et-un juillet, l'astre solaire chatoyant contre les vitres de la maison de Lily et James à Godric's Hollow.
Les hurlements du bébé c'étaient fait entendre dans toute la maison, alertant les marauders qui attendaient le couple et leur nouveau né au rez-de-chaussée, Azëlind et Sirius hurlant presque aussi fort que le nourrisson lorsqu'il sorta l'air de ses poumons bruyamment pour la première et non la dernière fois de sa vie.
— Prongs! s'exclamèrent ils en choeur en se séparant de leurs étreintes avec Remus et Peter en se précipitant vers James qui descendait les marches deux par deux.
— JE SUIS PAPA! JE SUIS PAPA! PAR LES COUILLES DE MERLIN JE SUIS PAPA! s'epoumonait-il en venant sauter dans les bras de Sirius, puis Azëlind en bas des marches se tenant contre la rampe.
— Si Lily pouvait hurler à nouveau elle te dirait surement de surveiller ton langage avec un bébé dans la même maison, s'amusa d'une voix raillante Remus en venant se glisser à son tour dans les bras de son meilleur ami.
— Godric, Lily, il a tes yeux! s'exctasia Azëlind lorsqu'ils avaient tous pu monter la voir dans sa chambre. Par sécurité, la rouquine avait accouchée chez elle avec l'assistance qu'il fallait.
Attribuant un coup d'épaule à Sirius à ses côtés, elle étouffa un rire.
— Il a la sale tronche de James, par contre.
— J'te l'fais pas dire, continua Sirius.
— Terrifiant, les suivit Remus.
— On en ferrait des cauchemars, finalisa Peter.
— J'vous emmerde tous! Poussez vous de mon fils!
C'est dans un éclat de rire communs qu'ils purent finalement observer la chambre du petit Harry.
Les murs étaient remplis de posters, d'affiches et de décoration de quidditch, peints en rouge et doré, et son lit était en forme de balai géant. Des étoiles luisantes brillaient sur le plafond tel une galaxie infinie et les draps et oreillers avaient des petits vaisseaux spatiaux sur leurs tissus.
Les meubles étaient toujours aux couleurs de la maison des Lion, il y avait d'ailleurs l'animal qui rodaient sur des autocollants un peu partout dans la pièce remplis d'affaires et de produits pour bébés.
Le temps passa à une vitesse folle, de Août mille neuf-cent quatre-vingt à l'année suivante.
Malgré sa condition, Azëlind venait voir avec les garçons Harry autant qu'elle pouvait. Sirius avait presque élu domicile chez les Potter et passait tout son temps avec le bébé qu'il bercait, faisait dormir et observait gazouiller.
