POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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we wish you a merry christmas we wish you a merry christmas we wish you a merry christmas and a happy new year good tidings we bring to you and your kin we wish you a merry christmas and a happy new year
Noël chez les Potter, c'était toujours ce qu'il y avait de mieux, de plus agréable, de plus réconfortant, de quoi donner envie aux plus haïsseurs du mot famille envie d'en faire partie.
Les Potter avaient décorés ensemble le sapin que James avait dénudé juste pour pouvoir le redécorer autant que l'est sa maison toute pleine de guirlandes, décorations, lumières -que ça soit en intérieur ou extérieur-, avec ses amis, tout excité qu'ils soient là.
Recouvert de plusieurs couches de vêtements -surtout James qui en avait tellement qu'il marchait les jambes écartées- les trois enfants et Fleamont étaient sortit dans la neige blanche et frigorifiante, faire des batailles de boules de neige, des bonhommes de neige, de la luge, et encore des batailles, leurs visages, nez, joues et bout des doigts rougies par le froid et leurs éclats de rire claquant sous leurs dents.
Azëlind rejoigna l'intérieure au bout de plus d'une bonne heure pour se réchauffer auprès de la cheminée crépitante, s'asseyant sur un des tapis chaud grâce à la chaleur intérieure, l'ombre de son corps se reflétant sur ce dernier, observant l'horloge magique au dessus du feu indiquer l'heure avec la grosse tête de James sur les aiguilles ce qui laissa s'échapper un pouffement à l'adolescente, Euphemia la rejoignant bien rapidement, s'installant à côtés d'elle en posant une main sur sa cuisse, la caressant doucement, laissant la préparation de sa buche à plus tard.
— Alors ma chérie, dis moi, comment tu vas? Demanda-t-elle sincèrement de sa voix des plus douces. James ne pensait pas que vous viendriez. Ça va pas avec ta famille?
— Pas vraiment. Azël en avait marre de mentir en disant sans arrêt que tout allait bien, alors elle fixa ses doigts rouges jouer les uns avec les autres en se les tripotant, ravalant la boule dans sa gorge comme une enfant s'apprêtant à dévoiler une bêtise à sa maman.
Sa maman...
L'adulte attrapa ses mains froides avec les siennes, toutes chaudes, enlaçant leurs doigts et venant souffler chaleureusement sur ceux de la plus jeune avant de se tourna vers elle.
— Eh, tu sais que c'est ici chez toi, d'accord? Tu peux venir quand tu veux. Je ne suis peut être pas ta mère, mais toi Azël, tu es ma fille. Lui avoua Euphemia.
Émue au possible face à ces paroles qu'elle avait le plus besoin d'entendre, des goutes dans les écrins de ses pupilles qui regardaient avec admiration la femme, elle se glissa dans les bras de cette dernière, réconfortant, une odeur familière et maternelle, qui la serra aussi fort qu'elle pu contre elle, les garçons les observant secrètement depuis l'entrée, un sourire triste sur leurs visages.
