POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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Les années étaient passées, la folie avait emportée Sirius qui avait apprit le retour de Voldemort, la vie intacte de Peter, et le sacrifice d'Azëlind avait été vain. Sacrifice dont seul Remus Lupin et Albus Dumbledore c'étaient doutés durant toutes ces années-là.
La première chose que le Black après s'être échappé fut d'aller avec un infime espoir qui l'avait tenu éveillé ces dernières années, dans l'ancien manoir des Targaryen.
Comme un fou, les habits en lambeaux, la peau aussi sale que ses dents et les cheveux noués, il courait comme un malade dans chaque pièce en hurlant son nom encore et encore, sa voix rauque résonnant à travers les murs noircis.
Il arriva finalement dans sa chambre et trouva un coffre en bois au milieu de la pièce avec un chien gravé au feu dessus. Elle savait qu'il viendrait.
De ses mains tremblantes et frêles, il ouvrit le coffre pour faire face à tout les souvenirs qu'elle avait gardée des marauders, d'eux deux. Des habits, des objets, des cadeaux, des bijoux, des lettres. Et un journal.
Sirius le lu jusqu'au dernier mot malgré les larmes qui avaient entravées sa vue. Il avait parcourue l'entièreté de sa vie, ses maltraitances avec sa famille, sa joie infime avec eux, son amour pour lui, et sa chasse aux horcruxes avant d'avoir apprit en avoir été une elle-même. Et une dernière lettre pour lui. Et parmis tout ces mots qui volaient ensemble les uns contre les autres, les derniers l'agrippèrent comme rien avant ne l'avait fait. Il avait espéré qu'elle soit l'encre de son avenir, elle avait finit par devenir une marque de son passé.
L'amour de notre vie n'est pas celui avec lequel on passe nos derniers instant, mais celui qu'on ne peut oublier jusqu'a notre dernier souffle, j'ai passé le dernier à graver ton nom en chantant. Et si la vie est si courte, et l'infini si grand, peut-on dire que notre amour est le seul infini qui aura une fin? Dès le premier jour on l'on c'est rencontrés mon coeur c'est engagé à t'aimer pour l'eternité. Je t'avais dis, que je ferrais en sortes d'avoir plusieurs vies, car je savais que notre amour serait infini et que la première se serait mal finit. Quand je mourrais, offre ce qu'il restera de moi aux enfants, et au vieillard qui attendent la mort. Et si tu dois pleurer, pleures pour ton prochain qui marche prêt de toi dans la rue, mais ne me pleure pas. Quand tu auras besoin de moi, prends quelqu'un dans tes bras et offres lui ce que tu voulais m'offrir. Je veux te laisser quelque chose de plus fort que des mots ou qu'une voix. Cherches moi dans les personnes que j'ai connue ou aimés. Dans Remus, Harry, et dans toi en premier. Et si tu ne peux pas m'offrir à d'autres, au moins laisses moi vivre dans ton regard, et pas dans ton esprit blafard. Si tu veux vraiment m'aimer, laisses des corps en toucher d'autres, laisses des mains en prendre d'autres, et laisses partir les enfants qui veulent être libres et heureux, mes souvenirs avec eux. Parfois les gens meurent, mais jamais l'amour. Alors quand il ne restera de moi que l'amour, offres moi à d'autres autour.
Alors il comprit, qu'elle c'était éteinte dans le ciel, ce soir-là. Que son étoile avait cessée de briller dans un ciel sans plus d'espoir qu'elle inondait.
Sirius pleura à chaudes larmes au dessus du coffre, le coeur émietté à gros sanglots, au dessus de son souvenir, le journal écrasé contre sa poitrine.
La silhouette fantomatique de la jeune femme, invisible sauf dans le coeur du brunet apparu prêt de lui, l'entourant de son halo tandis qu'il l'a pleurait une dernière fois, faisant briller Sirius de milles feu.
Sirius qui se souvint soudain de sa promesse envers elle, envers les marauders, envers James, et glissa le journal dans le coffre qu'il viendrait récupérer et partager avec son ami toujours en vie, Remus, lorsque la situation le lui permettra.
Sirius allait vivre, pour eux. Vivre pour Harry. Il allait le retrouver, et veiller sur lui comme ses meilleurs amis n'avaient pu le faire. Ces cinq meilleurs amis unit par la vie mais séparés par la mort du haut de leurs vingt-et-un ans. Il les laisserait partir en sachant que leur absence serait la pire des présences.
Et malgré toute la souffrance et le deuil, jamais il ne regretterait de les avoir rencontrés, ceux qui demeuraient être sa seule famille lorsque la sienne lui avait tourné le dos. Ceux qui lui avait apprit à vivre et à aimer. Ils étaient morts, elle était mort pour eux, pour lui. Alors il vivrait pour elle, pour eux et leurs souvenirs qui perdureraient toujours dans son coeur. Et si la mort viendrait le chercher, il l'accueillerait les bras tendus, prêt à tous les rejoindre.
Et ainsi, Sirius Black sourit une dernière fois, résolu et prêt pour ce qui l'attendrait dans son futur, et à travers la vitre crasseuse de la pièce, vu de tout la haut, il l'observa une dernière fois, les étoiles qu'il regardait avec elle tant de fois. Maintenant, il la retrouverait parmis elle. Ce n'était pas lui qui avait été son étoile, elle avait été la sienne.
L'histoire prend fin la ou elle aurait pu commencer, car au finale, l'amour ne triomphe pas toujours. Mais cette fois-ci elle vaincrait, car l'amour et les souvenirs des marauders demeurerait toujours, bien protégé dans le coeur de Sirius Black.