POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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you keep dreaming and dark scheming you're a poison and i know that is the truth all my friends think you're vicious and they say you're suspicious i feel like i'm drowning you're holding me down and you're killing me slow you're so plastic and that's tragic just for you i don't know what the hell you gonna do when your looks start depleting and your friends all start leaving my life's okay just when you're not around me
Les tremblements enveloppant ses membres, la jeune sorcière fixa le vide, les yeux vitreux, dépourvus de cette lueur habituelle. Cette lueur qui venait de disparaître à jamais.
Les hurlements de terreur autour d'elle, la foule qui déambulait dans tout les sens, les pleurs en continus et les voix brisées dans des intonations sans timbres fendant l'air plein d'effrois.
Les craquèlements de sa voix entrouvrant ses lèvres de force, s'échappant dans des hurlements de douleur, des hurlements en cacophonie. Des hurlements à l'aide, son visage s'inondant dans ses larmes bouillantes en continus.
Le sang brûlait sur ses mains, sur son corps, gisant de ses plaies. Le sang des remords.
Azëlind c'était effondrée sur le bitume frisquet emplie de flasques pâteuses et vermeilles, et jamais plus la Targaryen ne se relèverait.
Comment tout cela avait-il pu se produire? Comment avaient-ils pu en arriver à ce point de non retour? À cette fatalité extrême?
Tout était de sa faute. Sa faute à elle. Uniquement elle.
C'est six mois précédent la tragédie que nous nous trouvions.
J'aurais aimée vous dire que nous nous évadions dans un temps paisible, de bon souvenirs avant la fatalité de pluie de ténèbres, mais malheureusement, la réalité frappait plus fort que cela, comme la guerre terrassait une famille en pleine rue, comme la tempête englobait la terre, comme l'agonie heurtait Azëlind Targaryen.
Pinçant soigneusement ses lèvres autour du cylindre de papier blanc, la Gryffondor claqua ses doigts entre eux afin d'allumer la vive flamme entre ses doigts, incendiant le rouleau de poison avant d'être enclin à aspirer une bouffée de nicotine.
Une main s'effectuait à sortir et rentrer à nouveau la sèche de ses lèvres, et l'autre entourait ses propres bras, frictionnant ses membres dans plusieurs frissons s'envolant dans les airs tel des corpuscules d'acariens, ses iris observant la nuit habituellement si étoilé qui brillait de toute part et éclairait bien que faiblement chaque ombre fantomatique passant par là, nuit n'ayant pas eu envie de dénicher sa tête ce soir-là de début janvier, s'exposant à une nuitée vide et sombre, sans moindre trace de morcellement de lumière, reflétant bien l'état actuel du monde des sorciers.