POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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come on, skinny love, just last the year pour a little salt, we were never here my, my, my, my, my, my, my, my, my, my, my Staring at the sink of blood and crushed veneer tell my love to wreck it all cut out all the ropes and let me fall right at the moment, this order's tall and i told you to be patient and i told you to be fine and i told you to be balanced and i told you to be kind and in the morning, i'll be with you but it will be a different kind(🥲) 'cause i'll be holding all the tickets and you'll be owning all the fines come on skinny love, what happened here? suckle on the hope in light brassiere sullen load is full, so slow on the split ane now, all your love is wasted then who the hell was i? 'cause now i'm breaking at the bridges and at the end of all your lies who will love you? who will fight? and who will fall far behind?
Lorsque Sirius ouvrit ses paupières sous les forts rayons chaud du soleil d'été qui se reflétait comme un sillon sur son torse nu, il papillona quelques secondes avant de se rappeler sa nuit passée et, dans un sourire, glissa sa paume dans la place à ses côtés. Vide.
Le sourire tombant aussi vite qu'il se redressa, il quitta ses draps froissés et encore chaud, l'odeur de la jeune femme les embaumant et enfila un boxeur à la hâte avant de quitter au plus vite sa chambre, se précipitant jusqu'au salon, se stoppant en s'appuyant contre un mur en la voyant dans la cuisine, dos à lui, l'odeur des oeufs et du bacon qu'elle tentait tant bien que mal de cuire l'entourant en une fumée odorante, Sirius crachant tout l'air de ses poumons en glissant sa paume sur son torse. Il avait cru qu'elle était partie, à nouveau.
— Oh, t'es debout? demanda-t-elle en se tournant vers lui. J'ai fais à..enfin non, j'ai essayé de faire à manger, sourit-elle maladroitement en grattant nerveusement sa nuque.
Lui laissant tout juste le temps de continuer, il se précipita sur elle, habillée de l'une de ses chemises à lui et l'embrassa à pleine bouche en la serrant contre lui.
Dans un rire qu'elle lâcha, ils se séparèrent.
— Avec l'haleine du matin tu veux vraiment m'embrasser? C'est le bacon qui te met dans cet état-là? questionna-t-elle.
— Non je pensais juste que..fin tu sais, je t'ai pas vu dans le lit.
La Targaryen perdit son sourire dans un soupire en mordillant ses lèvres, coupable, et déposa un baiser sur la joue piquante du garçon.
Ils passèrent le reste de leur journée à l'appartement, parcourant les albums photos et les souvenirs de leurs mémoires, de leurs défunts, rattrapant leur temps perdus sans parler de quelconque sujet qui pouvait fâcher.
Le soir, enlacés dans les bras l'un de l'autre dans le grand lit, Sirius prit de nouveau la parole en jetant un dragée surprise entre ses lèvres.
— Tu voudrais qu'on aille voir les garçons demain?