POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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i know it's not alright i know we're not ok your hand is not in mine you take a different way and when i'm thinking about this i'm satisfied even when you are next to me you seem so far i found myself out of control i don't know why you've been so cruel i found myself down in the hole with something to say come back in time, now it's fine i am on my own again but you're on my mind you've broken me and now i fell just the pain you crossed the line no matter the game you played Whatever you did to me, now it's fine get the hell out of my way
Bonjour, c'est le printemps! C'est l'ange de tendresse! Ne devinez-vous pas pourquoi je bous d'ivresse? Ange de ma grand-mère, ange de mon berceau, ne devinez-vous pas que je deviens oiseau, que ma lyre frissonne et que je bats de l'aile comme une hirondelle?
Les saisons douces durant laquelle la terre respirait étaient désormais à portées de mains, et malgré la terreur englobant les esprits et dégoulinant dans les entrailles de tous, Poudlard ne souhaitait pas partager cette mauvaise ambiance, et tout se passait comme chaque années.
Les elfs de maison décoraient la grande salle et les salles commune avec des guirlandes de coeur en papier rouge et rose, ornant les murs du château de papier crépon rose, blanc et rouge, la musique jaillissant des arpes flottant dans les airs et un doux parfum de fleurs virevoltait dans les airs.
James avait fait son numéro habituel avec ses amis, comme chaque année, se surpassant un peu plus à chaque fois, et cette fois-ci, il avait réussit à gagner un baiser fougueux comme toute réponse contrairement aux années précédentes.
Les marauders étaient dans leur dortoir, à réviser ou jouer pour la plupart, et Azëlind était absente, croulant sous les devoirs.
Du moins, c'était ce qu'elle avait sortit comme excuses, se réfugiant dans la salle sur demande qui c'était transformée en bibliothèque privée d'après ce qu'elle souhait au plus profond d'elle, chacun des livres présents reflétant sur deux sujets bien ressemblants : la legilimencie et l'occlumancie.
Elle ne savait même pas comment cela était possible, sachant que la legilimencie était illégale, mais ne posait pas plus de questions qu'elle ne devrait, et se contentait de caresser de ses iris les livres dans l'entièreté de leurs mots depuis plusieurs mois maintenant.
La legilimencie était de plus en plus réputée dans les mauvaises famille, et elle ne doutait guerre que ses parents la maîtrise avec perfection.
Et jamais, jamais elle ne se laisserait pénétrer l'esprit par quiconque, par envie de protection de ses proches, de ses pensées, mais d'avantage depuis qu'elle jouait un double jeux.