POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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we'll never get free, lamb to the slaughter what you gon' do when there's blood in the water? the price of your greed is your son and your daughter what you gon' do when there's blood in the water? look me in my eyes, tell me everything's not fine oh, the people ain't happy, and the river has run dry you thought you could go free, but the system is done for if you listen real closely, there's a knock at your front door beg me for mercy, admit you were toxic you poisoned me just for, another dollar in your pocket now i am the violence, i am the sickness won't accept your silence, beg me for forgiveness
C'est en dévalant le sol du couloir, seule après sa crise dans son dortoir, qu'Azëlind traversait le château. Ses larmes et angoisses passées, ses nerfs étaient désormais tendus comme un élastique prêt à fouetter à quelconque instant.
C'est dans sa course qu'elle croisa son professeur de défenses contre les forces du mal qui lui lança un regard compatissant de loin, se rapprochant de sa personne.
— Mademoiselle Targ- Commença-t-il avant de se faire couper, dans l'intention de poser quelques mots réconfortants pour sa situation actuelle avec sa famille en premières pages.
— Vous! Vous! Comment vous avez pu?! Hurla-t-elle, Lyor entrouvrant en grand ses paupières en regardant autour de lui, attrapant le bras de son élève avant de la tirer dans la salle de classe la plus proche, la brunette se débattant en criant sur l'homme un tas d'insultes, ce dernier jetant un sort de silence sur la pièce. Vous n'êtes qu'un TRAÎTRE! À travailler comme agent double pour Voldemort! TRAÎTRE! Répéta-t-elle, ses cellules bouillonnant de rage en elle comme une cocotte minute, venant lui écraser ses poings contre son buste et ses épaules, l'adulte attrapant fermement ses poignets.
— Vous n'êtes pas bien claire, mademoiselle Targaryen. Ne travaillez-vous pas vous aussi pour le seigneur? Demanda-t-il, connaissant cependant la réponse.
— J'ai..Si! Se reprenna-t-elle, fixant l'adulte sans mots, ses lèvres tremblotantes et ses yeux se remplissant. J'ai..J'ai..Vous n'aviez pas le droit! Vous aviez l'air si fort, si admirable, il fallait que vous soyez un méchant!
Quelques larmes silencieuses dévalèrent ses joues alors qu'elle mordait avec force ses lèvres pour s'en empêcher. Elle pleurait beaucoup plus, ces temps-ci, tout s'accumulait de plus en plus, et il était tellement plus dur de tout garder en elle. Mais elle détestait ça, pleurer.
L'homme grimaça alors dans des traits peinés et appuya sa paume sur le sommet du crâne de l'adolescente, approchant sa tête de lui en venant la serrer contre son corps dans un geste affectif, presque paternel, caressant le haut de son crâne.
Lyor savait ce qu'elle ressentait. Ce tourment, cette agonie, ce double jeu, il l'avait vécu, il le vivait. Moins intensément, probablement, on ne l'avait pas initié de par la force à rejoindre le seigneur des ténèbres, mais il la comprenait. Irait-il la dénoncer à Voldemort pour ses doutes qu'elle vociférait? Son penchant pour le côté des dits gentils? Non, probablement jamais, il l'aurait fait depuis longtemps, en cas contraire.