51, 𝒍𝒂 𝒒𝒖𝒆̂𝒕𝒆 𝒅'𝑨𝒛𝒌𝒂𝒃𝒂𝒏.

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there was a time when i was alonenowhere to go and no place to call homemy only friend was the man in the Moonand even, sometimes, he would go away, toothen one night, as i closed my eyesi saw a shadow flying highhe came to me with the sweetest sm...

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there was a time when i was alone
nowhere to go and no place to call home
my only friend was the man in the Moon
and even, sometimes, he would go away, too
then one night, as i closed my eyes
i saw a shadow flying high
he came to me with the sweetest smile
torld me he wanted to talk for a while
he said, "Peter Pan, that's what they call me
i promise that you'll never be lonely"
and ever since that day
i am a Lost Boy from Neverland
usually hanging out with Peter Pan
and when we're bored, we play in the woods
always on the run from Captain Hook
"run, run, Lost Boy", they say to me
"away from all of reality"
Neverland is home to Lost Boys like me
and Lost Boys like me are free








Le voilà, le moment qu'ils avaient tant attendus, quelques jours avant la fin de l'année, les marauders s'apprêtaient à rejoindre l'extérieur pour voler à la recherche de leur troisième horcruxe, mais aussi le dernier dont on leur avait partagé le lieu il y a de cela presque deux ans.

Cet horcruxe aussi avait été compliqué à prévoir. Probablement plus que les autres. Non pas parce qu'il fallait simplement attendre une saison en précision, ni car il était enfouit au fond d'un lac, mais car l'endroit en question se trouvait être la plus grande prison du monde des sorciers, en grande bretagne sur une île perdue, Azkaban.

Tous regroupés vers la lisière de la forêt, balais en main, robes de sorciers retirée, chacun les enjambèrent avant de pousser grâce à leurs semelles un grand coup dans le gazon chaud sous leurs pieds et de s'envoler à travers les arbres de la forêt interdite pour ne pas se faire repérer dans les airs.

Les Turbo 67 de James et Azëlind, derniers modèles en vente de balais allaient relativement plus vite que les Flip 1000 des trois autres, le vent léchant leurs physionomie d'une brise fraiche et mordante sous ce soleil chantant, retentissant tel des bourdonnements dans leurs tympans et crispant leurs traits.

Le voyage dura un bon moment, la communication entre eux était compliquée avec les bourrasques qui bouchait leurs conduits auditifs, et finalement, arrivant non loin de l'île d'Azkaban, volant à ras du rebord de l'eau — qu'ils s'amusèrent à frôler de leurs doigts — entourant la prison avant de redresser d'un coup leurs manches et de longer la plus grande tour, arrivant sur le dessus d'une tourelle, crachant un sortilège à leurs balais qui devinrent si petit que les glisser dans leurs poches fut un jeu d'enfant.

Oubliez pas, gardez bien vos baguettes sur vous, et surtout, surtout, vos souvenirs heureux. On va croiser des détraqueurs, c'est sûr, alors n'oubliez pas vos patronus, prévint la jeune femme.

Peter semblait trembler de terreur.

Pete ça va aller, remonte tes couilles dans ton caleçon et reprends ton sang-froid, on est des marauders merde, on va y arriver! Ok?

𝐁𝐎𝐑𝐍 𝐓𝐎 𝐃𝐈𝐄, sɪʀɪᴜs ʙʟᴀᴄᴋ.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant