POUDLARD, 1976.
Le récit de cinq meilleurs amis abattus par la vie qui, grand dangers, devront affronter.
mangemorts, basilic, kappa, cerbère, sirènes, tritons, strangulot, calmar géant, marcheurs blanc, loup garous, détraqueurs, dragons, et un tas...
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sun is shinin' in the sky there ain't a cloud in sight it's stopped rainin' everybody's in the play and don't you know it's a beautiful new day, hey hey runnin' down the avenue see how the sun shines brightly in the city on the streets where once was pity mr. blue sky is living here today, hey hey mr. blue sky please tell us why you had to hide away for so long where did we go wrong? where did we go wrong?
(écoutez la la la de shakira et mr. blue sky pendant la fête des marauders)
La musique retentissait comme du feu dans les tympans, les cris la masquaient à peine, et Azëlind, prêt de la platine, choisissait le prochain morceau à passer, laissant des notes graves se perdre dans la nuit tombante, la pièce s'assombrissant plus le soleil continuait son orbite, la boule de lumière rouge s'apprêtant à disparaitre completement à l'horizon en laissant les prunelles de tous prendre une teinte orangée.
Face à leur écrasante victoire, les marauders avaient rapidement organisés une fête. Ils étaient les meilleurs pour cela depuis tant d'années.
James se contentait de les faire gagner à chaque fois, Azël de préparer la meilleure fête possible, Remus la meilleure musique, Pete la meilleure bouffe, et Sirius ramenait toujours presque la moitié du château.
La chevelure ébeine, sa jupe corolle et vaporeuse s'envolant alors que son gabarit se mû au rythme de la mélodie, ses douces lèvres étirant ses rondeurs, son habit formant des arabesque quand elle tournait sur elle-même avant de lever sa baguette en l'air, une lumière jaillissant et faisant apparaître des lions qui rugissèrent en courant dans l'air avant de venir voler à travers tout ceux présent, les cris s'augmentant, les lions crachant des confettis dans les airs, la musique devenant de plus en plus forte.
Des nouveaux jeux fusèrent, et encore de l'alcool coulait dans les sangs des rouges et jaunes et de tout ceux présent à cette fête, les visages des marauders creusés dans des immenses joies comme ils n'en avaient jamais eu.
Des visages faiblement éclairés à la lueur des chandeliers, les esprits aussi légers que les bulles dorés de leurs alcool avalés, la pièce étouffante et chaude, la lune ne tardant à atteindre sa moitié alors que les sourires béats des adolescents, eux, étaient entiers dans l'obscurité des ténèbres extérieurs.
James, tout barbouillé, assit sur un des divans, le bras en bandoulière autour du dossier du canapé derrière l'épaule de sa rouquine, rigola à cause de l'alcool à voix forte, son sourire éclatant élevant tout les coeurs dans une douce et indéniable jouissance.
— Lilyyyy! Je t'aime! S'écria-t-il une main sur son torse.
La sorcière, amusé du James bourré, les yeux content et taquins, vit fleurir un rictus sur ses traits en se penchant vers lui, mimant des pétales de fleur qu'elle arracherait entre ses doigts.
