Chapitre 25: Seul et rejetée?

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Point de vue de Hope.

— Alors toi et moi pensons pareil à ce que je vois, allez viens, ma belle on rentre chez moi.

— Daiki ? Tu devrais être avec les autres que fait tu ici ?

— Je suis ici avec toi parce qu'à mes yeux tu es plus importante que leur fête. Dit-il en me tendant la main.

J'attrape alors sa main et il me tire vers lui afin de me relever. Il est la, tout proche de moi et je reste muette.

Il fait alors un tour sur lui-même et nous marchons dans cette nuit sombre mais éclairée par les rayons de la lune. Je sais qu'il est le seul à vraiment se soucier pour moi et il a ses mains dans les poches et marche de manière peinard. L'envie d'être contre lui me prend mais je ne peux pas forcer la chose.

Il marche et à un moment, il sors sa main de sa poche et passe son bras à m'on épaule.

— tu te rappelles à nos début, nous en avons fait des balades en se tenant comme cela. Me dit-il nostalgique.

— Oui , deux amoureux qui ne se souciaient pas trop du temps qui pouvait passer, et puis cela s'est terminée. J'en ai fais des conneries dans ma vie. Mais celle là est je pense la plus grosse. Dis-je en passant mon bras à sa taille.

— Je pense alors ma belle que nous sommes deux à avoir commis la même conneries. Mais j'aime me retrouver ici avec toi. La soirée , sincèrement c'est nul. Des mondanité pour quoi ? pour des secrets qu'ils ne te disent pas.

— Merci Daiki, merci d'être ici avec moi.

Il s'arrête et me fait face, ses yeux pétillent et je sais qu'il apprécie cette balade. Je le regarde et il m'est impossible de me défaire de ses yeux qui me transporte. Il s'avance et me colle à lui de par ses mains dans mon dos et naturellement il vient poser un baiser sur mes lèvres. Timide pour commencer mais il m'a tellement manqué que je lui rend son baiser. Nous nous faisons un baiser comme je pourrais dire de cinéma, un baiser qui ne s'éternise pas. Nous nous regardons et nous sourions tout les deux.

—Embrasse moi Daiki. Dis-je.

Il s'empare alors de mes lèvres avec douceurs, mais très vite, la tension monte entre nous et ce baiser devient plus fougueux, plus possessif. Nos langues se retrouvent et dansent toute deux dans des retrouvailles qui ont tardé à se faire. Mais lorsque nous reprenons notre souffle, ma première parole sera peut-être choquante :

— Il ne faut rien dire à personne pour le moment Daiki, je veux t'avoir juste pour moi et rien que pour moi. Dis-je.

— Je suis entièrement d'accord ma belle, mais tu es consciente qu'il va être compliquer pour nous deux de le cacher aux autres. Nous allons nous trahir, nos regards, nos envie d'être l'un dans les bras de l'autre. Réponds Daiki.

Je ne peux que lui sauter dessus et enrouler me jambes à sa taille et plonger sur ses lèvres. Je ne veux plus le quitter, et je lui dit clairement :

— Je ne veux plus te perdre, je t'aime trop Daiki, ne me laisse plus s'il te plait. Dis-je.

— Je ne compte pas te laisser ma belle, je t'aime trop que pour risquer de te perdre encore une fois. Si nous rentrions toi et moi, Juste nous deux et au chaud . Ou sont tes affaires ?

— Je les ai laisser devant chez toi, je n'ai pris qu'un seul sac. Le reste étant resté aux USA. Dis-je.

Je peux retrouver mon Daiki souriant, pétillant et il était vrai qu'il serait compliqué de se tenir loin de l'autre mais je voulais surtout éviter de ravoir une Satsuki intrusive à toute heure.

Mes secrets de famille tome 2  (Kuroko no basket)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant