Chapitre 41 : Que penser? (Partie 2)

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Point de vue de Hope

Je l'ouvre et je vois un billet aller simple pour les USA. Rien d'expliquer. Je prends mon téléphone et profiterai alors pour sonner à Shintaro, Tatsuya et je leur explique en deux mot la situation et je leur dit adieu. J'ai envie de pleurer car l'accord de Daiki et de Ryota, cela me paraissait douteux , mais ils n'avaient aucuns tenter de me retenir. Une fois à l'aéroport, je vais valider le billet, et je suis avec mes deux sacs, rien de plus. Mon téléphone sonne et je n'ai pas le cœur de répondre en voyant afficher Daiki. Idem pour Ryota.

Un message de Satsuki :

Te voilà à ta juste place à l'aéroport prête à monter dans l'avion. Adieu

Seijuro me téléphone, et je réponds en tentant de ne pas craquer.

— Hope, je t'attend ou es-tu ?

—Seiji, tu ne me verra pas, je ne sais rien de ce qui se fait mais Satsuki te dira où je suis. Je te dit à la prochaine , car je dois embarquer. Adieu frangin.

J'ai raccrocher et l'appel pour embarquer s'est fait et donc je suis monté sans regarder derrière moi.

Une fois dans l'avion j'ai pris alors mon téléphone et j'ai envoyé un message à Daiki et Ryota.

Daiki et Ryota,

Cela aura été plaisant d'être à vos côtés mais également une déception. Merci pour votre complots, J'avais donc vu juste avec Satsuki mais bon , votre bonheur est là et sans moi, je respecte vos choix et vos décision, j'ignorais par contre avoir fait un pacte en n'ayant pas vu que c'était moi qui était à virer. Adieu, Et soyez heureux. Hope White.

Ce qui visiblement n'était pas prévu est que Tatsuya avait débarquer et montait dans l'avion.

— Hope, tu es là? c'est quoi ce bordel ?

— Je me fais virer par Kissé, Aomine et Momoi. Il n' y a rien d'autre à savoir, je ne sais rien de plus.

On nous invite à attacher nos ceintures , le décollage était donc imminent.

J'ai alors senti l'avion rouler et prendre en vitesse pour enfin décoller et je me suis effondrée en larme sur ce qu'il se passait. Une fois arriver sur le sol américain, je me fichais de tout, à quoi bon. Le téléphone s'est mis à sonner, j'ai décrocher et j'ai juste entendu la voix de Daiki. Avant qu'il ne me parle de trop car cela me faisait mal, j'ai dit :

—Vous pouvez être fier de vous trois, je suis arrivée aux USA et je n'oublie pas que c'est là ma place. Je vous aimait mais j'ignorais totalement que c'était Satsuki votre bonheur. Adieu.

J'ai raccrocher et je pleurais encore plus. J'ai retrouvé Kenan, qui ne comprenait pas ce que je faisais ici. Mon téléphone n'as cesser de sonner et je l'ai donné à Tatsuya qui lui ne s'est pas privé de décrocher. J'étais au plus bas, rejetée de mes propres amis. Je devais mériter ce qu'il m'arrivait, visiblement. Tatsuya veux alors me passer Daiki mais je refuse , Ryota idem. Je me suis alors écrié en pleine rue : Pourquoi vouloir me parler alors qu'ils m'ont chassé du pays ? jamais ils n'ont dit quoi que ce soit, mais faire croire que j'allais chez Seiji , je retiens, fou moi ça loin de moi Tatsuya. J'ai bien compris le message et le billet aller simple : c'est là qu'est ta place, adieu. Merci à eux trois !

Je me suis contenté de rentrer chez moi, et d'y reste renfermer. Je ne cessais de regarder par la fenêtre et refusais tout. Je ne digérais rien de cette trahison. J'en ai conclu que personne mise à part Satsuki avait eu le culot de me dire tout haut, ce que tout le monde pensaient et n'osaient rien me dire.

Tatsuya me paraissait étrange aussi , mais quand vous êtes au plus bas, il n' y a plus rien qui puisse vous aidez à remonter. Le lendemain matin, je traine dans mon lit et j'ai arrêté de pleurer, cela ne servait à rien et ne changerai rien. On frappe à ma porte et je vois Daiki avec Ryota et Satsuki. Je ne réagis pas.

Mes secrets de famille tome 2  (Kuroko no basket)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant