Mes secrets de famille tome 2 (Kuroko no basket)

Chapitre 45: galère.

Point de vue de Ryota Kissé.

Hope reste avec nous mais elle ne réagit vraiment pas comme nous l'aurions pensé. Son côté sombre l'a totalement envahie et elle est persuadé que c'est une mutinerie, mais elle ignore que Satsuki ne reste pas ici. Elle part avec Seijuro en voyage, et donc Hope va avoir la paix, mais cela fait mal de la voir nous rejeter. Elle reste sur son lit à regarder vers l'extérieur comme si elle était privée de sortie. Satsuki a mis un beau bordel et je pense moi avoir perdue Hope pour simplement avoir tenter une amitié.

Le premier jour, Satsuki est rentré chez Seijuro mais Hope n'est pas sortie de sa chambre. Daiki a bien tenté de lui parler mais nous sommes face à un mur. Elle ne nous adresse pas la parole. Son téléphone est posé sur son bureau car elle l'avait oublié chez son frère mais jamais elle n'y touche, ne le regarde rien, un boycott le plus total.

— Hope, un petit match de basket, cela te tente ? cela te fera sortir d'ici. Demande Daiki.

— Non merci, je vais encore perturber certaines personnes. Ma place n'est pas ici, mais je dois m'en accommoder, demande à ta fusion elle se fera un plaisir de te coller.

— Hope, Satsuki est partie en voyager avec ton frère alors crois moi, tu ne perturberas rien, alors bouge et vient merde. Tu n'est pas en prison. S'excite Daiki.

— Je ne suis pas en prison, hein ? Elle n'est pas là mais quand elle reviendra, je ne pourrais plus rien faire ni même avoir comme moment avec vous, alors vu qu'elle est très importante pour vous, je commence à me faire à ma nouvelle vie !

— Arrête ce jeu tu veux ? Satsuki n'a pas été sympa et j'ai toujours repris pour elle, c'est vrai , mais explique moi quelle facette de toi parle pour le moment hein ? Pourquoi aurais-je repris pour toi, alors que tu veux tout gérer seule. Hope, cela fait maintenant une semaine qu'ils sont partis et une semaine que tu ne te joint même pas à nous, tu sors de cette chambre juste pour aller te laver et aller au toilette. Jamais pour te joindre à nous. Il ne te vient pas en tête que tu nous blesse par ton comportement ?

— Ecoute moi bien Aomine, et moi votre comportement , tu ne penses pas qu'il me blesse ? Jamais , elle ne devait venir ici, nous étions bien avec Ryota, puis tu es venu et elle a très vite atterrit ici, pour me faire fuir pour une soi-disant leçon mais son intention véritable était bien de tenir loin de vous. Et a présent, vous avez repris tous les trois pour elle. Je ne verrai plus mon frère, car ça sera ainsi, et vous je ne vous approche plus et je me tiens à distance car la comtesse dès son retour procèdera à mon isolement de vous tous. Alors oui, je vous blesse et je m'en fiche car vous m'avez blessé également à la reprendre. Je pensais être remise avec Ryota, mais Satsuki a réussi à me le détourner alors qu'est ce que je dois encore attendre de cette vie ? Un match de basket... parce qu'elle n'est pas ici, mais une fois qu'elle sera ici, vous éviterez de me parler, de me regarder, vous graviterez autour d'elle. Alors calme tes nostalgies de nos moments qui semblaient être heureux, car les seuls heureux que tu as pu me prouver ont été les moment passer avec elle, toi et elle mais vous n'êtes pas amoureux hein. Laisse tomber. Je vais vous dire une dernière chose, le pacte, ce n'était pas avec moi que vous deviez le faire mais avec elle. Claquais-je.

— Pourquoi ton téléphone sonne et tu ne réponds jamais ?

— Aomine, je m'en fiche de qui m'appelle, personne n'a a m'appeler sauf mon frère qui lui prendra la température pour le retour de sa femme parmi vous. Elle me le prendra peut-être alors, quoi ? même jouer sur ma batterie, je n'ai pas accès. La pièce est fermée à clé. Laisse-moi rire et dit moi quand elle rentre, je gagnerai du temps.

— Nous sommes rentés et je suis très déçue de voir l'image que tu te fait de moi. Je veux être ton amie et tu me rejette totalement, tu me vois comme un monstre, et tu t'imagine que je me tape les trois mecs ? Deux sont amoureux de toi, et le troisième se fait beaucoup de souci pour toi.