«-Tu sais qu'ils ne tiendront pas leur promesse Lil ? Demanda Teddy alors qu'ils descendaient les marches pour rejoindre les autres dans le hall d'entrée comme il était prévu.
-Evidement, répondit Lily. Mais ça valait le coup d'essayer. »
Lorsqu'ils rejoignirent les autres dans le hall, ils purent voir que le dernier groupe d'élèves s'apprêtait à partir et qu'une bonne partie des membres de l'ordre et des aurores n'étant pas corrompu par Voldemort étaient arrivés. Le bouclier de protection avait été mis en place et les derniers sorts étaient également en court de préparation. Les adultes n'étaient pas encore revenu, ce qui signifiait qu'ils n'avaient pas encore fini de protéger certaines parties du château. Regulus et Pandora étaient encore là, pour une raison que Teddy ignorait, ainsi que Lily Evans, Marlène McKinnon, Sirius Black et Alice Fortescue. Peter et Mary n'étaient nulle part à porter de vue. Sans surprise. Lily et Teddy rejoignirent leurs proches qui tentaient d'expliquer aux membres de l'ordre le plan de Voldemort et leur plan pour l'arrêter. Le seigneur des ténèbres de leur temps avait prévu de rencontrer le seigneur des ténèbres de l'époque dans laquelle il se trouvait afin que les deux ne fassent plus qu'un pour devenir plus forts. Et, certains des plus fidèles sbires de Voldemort aurait peut-être le droit à la même faveur. Les trois groupes d'adultes finirent après plusieurs minutes par revenir et ils se présentèrent à leurs tours aux combattants, tentant de répondre aux questions qu'ils avaient. Lorsque Franck Londubat arriva, il fut légèrement choqué à la vue de Neuville, mais il se concentra plus sur le fait qu'Alice était encore dans l'école alors que le dernier groupe venait tout juste d'être évacué.
«-Ah ! Je savais qu'il se passait quelque chose entre Marlène et Sirius ! Tu me dois 50 galions Euphémia, annonça Fleamont Potter lorsqu'il vit Cassiopée alors qu'il arrivait auprès de sa femme -qui semblait désespéré face à ce qu'il venait de dire- et Dumbledore. Lequel d'entre vous et mon petit-fils ?
-C'est moi, répondit Harry en s'avançant avant de tendre sa main. Fleamont se demanda comment il avait pu même demandé une tel question en voyant Harry, qui était le portrait de craché de James, qui lui-même était le portrait craché de Fleamont. Je suis Harry, voici ma femme Ginny et vous avez sans doute déjà rencontrer mes enfants.
-On s'est croisé mais ils étaient différents. Alors vous avez vraiment remonter le temps ? C'est à la fois courageux et sacrément stupide si vous voulez mon avis.
-Fleamont ! S'offusqua Euphémia, ils venaient tout juste de rencontrer leurs petits-fils et il se permettait de le traiter de débile.
-Oh, c'est pas grave, la rassura directement Harry. Et j'aurais plutôt dit désespérée. Mais ce qui est désespéré est souvent stupide.
-C'est plutôt vrai, avoua Fleamont, légèrement surpris mais surtout plutôt fier de l'intelligence de son descendant. Donc, il parait que c'est toi qui a été élu pour détruire Voldemort et que personne d'autre ne peut le faire ?
-Quoi ? Demandèrent James et Lily d'une même voix. Personne n'avait remarqué que James et Remus les avaient rejoint. A l'origine, les deux maraudeurs avaient prévu de se cacher sous la cape de James jusqu'à ce que la bataille ne débute mais ils avaient remarqué que ses amis se tenaient avec l'ordre comme si tout était normal alors qu'ils étaient arrivés dans le hall, complètement invisible. Si leurs amis n'avaient pas besoin de se cacher alors eux non plus. Même si cela ne sembla pas plaire à Euphemia, qui gronda discrètement son fils pour sa présence en quelques mots et que James parut mal à l'aise en voyant Albi le regarder avec un léger sourire moqueur face à cela.
-Surprise ! S'exclama Eli face à la déclaration de Fleamont, coupant Euphemia dans son discours discret envers son fils. Eliana comprit cependant tout de suite que ce n'était peut-être pas le moment pour blaguer en voyant le regard noir de la grand-mère de son copain.
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Rewriting history
FanfictionDans un monde où le mal l'emporte sur le bien, Harry Potter décide d'envoyer ses trois enfants à une époque plus sûr dans l'espoir de pouvoir changer les choses.