|| Bonjour ! ||
●Voici un recueil de Préférences/OS sur One Piece :)
●One piece x (fem.reader)
(je trouve ça plus simple au féminin, mais libre à vous de changer le genre du lecteur)
●Je ne prends pas de commande.
●EN REVANCHE, n'hésitez pas à me d...
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<<Marco ! Tire un peu plus !>>
Le blond tira d'avantage sur la corde avant de l'attacher sur la boucle de métal. C'était le jour de la lessive et étant une des seules à savoir comment faire, c'est toi qui t'y collait. Même si Marco t'aidait énormément.
Tu étais une des seules mais surtout, la plus précieuse fille de barbe blanche. Et visiblement, parmi tous, tu étais là seule à savoir étendre le linge. Ou bien la seule à ne pas avoir la flemme. C'est possible aussi.
Dans les grandes journées de lessive, le Moby Dick entier était tressé de cordes, serpentant entre les mâts et les barrières, sur lesquelles tu étendais le linge. Dans ces moments là, plus personne n'osait s'aventurer sur le pont de peur de casser une corde et de voir tous les vêtements s'envoler dans la mer. Puis de faire un vole plané intersidéral car tu savais frapper fort en temps voulu.
Tu étais donc entre deux cordes, étalant les draps blancs propres. Une délicieuse odeur de lavande et de frais venait enivrer chacun des hommes de l'équipage. Cette douce odeur parvenait même à reposer votre père, Barbe Blanche, qui adorait secrètement les jours de lessive, uniquement pour cette sensation de fraîcheur. C'est comme si le bateau s'était transformé en jardin idyllique.
Il y en avait un autre que les jours de lessive ravissait. Un certain Ace au poing ardent. Dans ces moments là, il savait qu'il était tranquille et qu'il pouvait venir t'embêter. Personne ne l'en empêcherait.
Celui-ci t'aperçut entre deux draps et se glissa discrètement, loin de la vue de Marco. Il passa entre les draps et se cacha derrière celui juste devant toi. Quand tu eus le dos tourné, il t'enveloppa dans le tissu mouillé en riant tendrement. Tu sursautas et gigotas un peu avant de sourire et de rire à ton tour.
<<Ace ! T'es bête ! Arrête !>>
Il se decala en levant ses mains, l'air innocent.
<<D'accord d'accord ! J'arrête. Mais seulement si tu m'embrasses !>>
Tu te mis à lui taper le ventre. Il se plia un peu en riant, essayant de se protéger. Tu tiras alors son nez avant de lui tourner le dos.
<<Tu es un idiot Portgas D. Ace.>>
Il s'approcha de toi et se glissa sur le côté, prenant sa voix la plus suave et séductrice.
<<Tu dis ça parceque tu craques complètement. >>
Tu tentas de masquer ton petit rictus mais il le remarqua bien vite et prit plaisir un rire comme un enfant, fier de sa victoire.
Cela faisait un temps considérable que vous vous cherchiez tous les deux. Il vivait au jour le jour et avait totalement craqué sur toi. Tu étais donc devenue la victime numéro une de ses plaisanteries et de ses disquettes. Tu faisais ton possible pour l'ignorer au début mais tu t'étais très vite attaché au garçon. Il était terriblement gentil malgré son irrécupérable envie de t'agacer sans cesse. Et puis, tu ne pouvais t'empêcher de rire à ses âneries. Alors tu marchais et tu jouais au même jeu que lui, cherchant à savoir lequel d'entre vous viendrai à craquer le plus tôt.
<<Et si je t'embrasse maintenant Ace ? Comme tu me l'a demandé. Tu penses pouvoir tenir le choque ?>>
Tu avais dis cela en secouant un draps que tu te mis à accrocher sur un câble. Tu fixas le brun du coin de l'œil qui avait vraisemblablement changé de couleur, optant contre son grès pour un rouge vif. Tu pouffas un peu en récupérant ton panier vide.
<<Je rigole idiot.
-Ouais mais attend !>>
Tu haussas les sourcils et tournas vers lui, esquissant un sourire satisfait.
<<Attendre quoi ?
-J'ai... j'ai pas dit non !>>
Tu clignas des yeux avant de t'avançer vers lui. Il ne bougea pas tandis que son cœur battait la chamade. Tu approchas tes lèvres des siennes mais t'arrêtas juste avant.
<<Tu es de plus en plus nul à ton propre jeu mon petit Ace.>>
Puis tu te reculas en ricanant avant de partir en trotinnant.
<<J'ai gagné !>>
Le jeune homme cligna des yeux et deglutit, tentant de reprendre son souffle. Tu étais si proche. Si il avait avancé, il aurait pu goûter à tes lèvres.
Il tourna alors les yeux vers ta silhouette et essaya de te poursuivre.
<<Attend ! [T/P] reviens ! Refais le ! Je veux voir ! [T/P] !>>
Il passa la soirée à essayer de te charier pour que tu recommences ce que tu avais fait sur le pont. Comme si demander simplement était trop compliqué...
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