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 11 novembre 2024-Camila

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11 novembre 2024-Camila

« Chérie, tu es prête? J'entends Pedro me dire.»

Je lui affirme que oui, et le rejoins en bas. Chez nous... Car oui, nous nous sommes trouvés notre chez-nous. Bien que j'ai adoré les moments passés chez les Gonzalez, nous avons tous les deux ressenties le besoin de liberté. Et puis, nous sommes suffisamment grand et mature pour.

Alors, quelques mois après ma merveilleuse fête d'anniversaire, on s'est trouvé une assez grande maison, pas très loin du stade, de chez ses parents, et de chez Fernando. Car oui, ce dernier a décidé de prendre son «envol», et de se trouver une maison pour lui et sa copine. Ils sont ensemble depuis bien un an, et je peux l'affirmer, j'aime bien Sol.

« Et bien, ce n'est pas trop tôt!

- J'ai bien le droit de prendre du temps pour me préparer, non?

- Tu en a mis du temps...

- Alors, la prochaine fois, je mettrais un sac poubelle, comme ça ce sera rapide.

- Je rigole, tu es très jolie.»

Il m'embrasse furtivement les lèvres, avant d'aller ouvrir à nos premiers invités. Très vite, notre salon, pourtant très grand, se retrouve remplie de tout nos amis et de notre famille.

« Les enfants sont juste horribles là!»

En effet, on a invité les coéquipiers de Pedro, et donc leurs enfants aussi. Et Eva et Angela, les enfants de Mikky et Daniela sont encore petites, et dont un bruit monstre. Mais ce qui compense, c'est qu'elles sont incroyablement mignonnes.

« Et encore, elles ne sont pas si fatiguées que ça.

- Le reste de la soirée va être dur...

- Et Cam'!»

Je fronce les sourcils en entendant Fernando, et me précipite dans la chambre de mon fils. Manquerait plus qu'il ait fait une connerie avec lui. Je savais que c'était une mauvaise idée d'accepter qu'il aille lui changer la couche.

« Qu'est-ce qu'il se passe?

- Nan mais c'est horrible là!»

Mais qu'est-ce qu'il se passe à la fin? Je serais en capacité de le tuer si il a fait quelque chose à mon fils. Déjà qu'il passe de bras en bras depuis tout à l'heure. D'un pas déterminé, je m'avance à côté de Fernando, près de la table à longer d'Adrian.

« Mais attend... Il t'a vraiment pissé dessus là?»

Sans plus attendre, j'éclate de rire à n'en plus respirer. J'arrive pas à y croire. Alors ça, pour une première, sans est une. Il a presque un mois, et ça ne nous est jamais arrivé, à Pedro et moi. Il va le haïr, c'est sûr.

« Non, mais tu trouves que c'est drôle là peut-être! Je sais pas moi, je proposes de lui changer la couche, et il me pisse dessus? Moi ça me fait pas rire hein!

- Bon, pourquoi ça crie ici?»

Je me tourne vers Pedro, et ne peut pas m'empêcher d'éclater de rire une nouvelle fois. En voyant ce qu'il s'est passé, Pedro éclate de rire aussi, pendant que Fernando continue de râler.

« Vous contez m'aider ou pas?»

Je savais qu'il arrivait que des malheurs à Fer', mais pas à ce point quand même. Il y a vraiment qu'à lui que ça arrive...

[...]

Adrian dans mes bras, je lui donne le biberon, tout en écoutant les différentes conversations autour de moi. Il ne reste, maintenant, que nos amis les plus proches, à savoir Pablo, Ferran et Fernando qui est quand même resté ne détestant pas complètement mon fils.

« Et toi Fer', des projets avec Sol. Demande Ferran.

- Bah, pour le moment non. Je pense être trop jeune. Et puis, quand tu vois que mon neveu me pisse dessus alors que je le change la couche, j'ai pas trop envie.

- Attend, il t'a vraiment pissé dessus. Hurle de rire Pablo.

- Je vois pas ce qu'il y a de drôle hein...»

Il prend un air boudeur, mais ne tient pas très longtemps, avant de lui aussi, rire. Du Fernando tout craché quoi.

« Je-je peux le prendre dans mes bras?»

Je tends Adrian à Pablo, sans broncher. Je lui fais confiance, et je sais qu'il fera attention. Ce qui m'étonne, c'est qu'Adrian fait de nombreux sourires à Pablo, alors qu'il ne nous en fait pas à nous. C'est qu'il aime bien son parrain...

Pedro

Si il y a quelques années, on m'avait demandé ce qu'était le bonheur, j'aurais été incapable de répondre. J'aurais sûrement réponde, jouer au foot, sans trop de conviction. Mais maintenant, je peux répondre.

C'est de voir, chaque soir, ma copine avec mon fils dans les bras, tous les deux en train de dormir. Ouais, je crois que c'est ça le bonheur. D'être avec les gens que j'aime, sans me préoccuper du reste. Car c'est la meilleure vision au monde.

Camila n'a peut-être pas eu une grossesse facile, mais maintenant, notre fils est là, pour notre plus grand bonheur. On a vécu tellement de choses pour en arriver là. Malgré tout ce qui a voulu nous séparer, on est là, plus amoureux que j'aimais. Et j'aimerais crier sur tous les toits que je l'aime comme c'est impossible d'aimer.

« A quoi tu penses?

- A nous.

- Comment ça a nous?

- A tout ce qu'on a vécu pour en arriver là. Tout le monde a voulu nous séparer, et pourtant, on est toujours là, tous les deux.

- C'est vrai. C'est probablement le destin.»

C'est ça, c'est le destin. Le destin nous a réunit, pour qu'on se mette ensemble. Pour qu'on vive heureux. Alors maintenant, je peux le dire, j'ai trouvé mon bonheur. Camila, Adrian et moi. J'ai trouvé comment être enfin heureux.

Je les aime tellement... 

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Coucouuuu!

Comment vous allez?

J'aime beaucoup ce chapitre! Il est mignon... 

Comme promis, on a retrouvé Ferrrrr.

Et Pablitoooooo. 

Je ne vous promets pas beaucoup de bonus sur cette histoire, mais de temps en temps pourquoi pas. 

D'ailleurs, un bonus sortira dans la semaine sur "L'amour d'un harceleur"! Je ne sais pas encore quel jour, mais vous saurez tout ça.

Amour adolescent|| Pedri {en réécriture}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant