Chapitre 26

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Coucou
La suite....
♥️♥️♥️
———————

On récupère la clef de la chambre, on pénètre dans la chambre. Je m'assois sur le lit, lui sur un fauteuil. La situation est gênante, je rougis légèrement.

— Bon.

Je relève les yeux vers lui en souriant.

L'ambiance se charge de désir, je pourrais perdre mes pleines capacités enfermées entre ces quatre murs. J'essaye de penser à autre chose, mais des images que je ne contrôle pas, envahissent mon esprit.
Je me relève, je m'approche de son fauteuil, il me suit du regard, je m'assois à califourchon sur lui. Il se laisse faire. J'ai l'impression d'inverser les rôles, habituellement, je ne fais pas le premier pas, j'attends que les choses viennent à moi.

— Normalement, c'est là que tu prends les choses en main.
En souriant.

— Je veux voir si ça en vaut la peine.

Mon sourire s'efface, je me relève, mais il me retient la taille et me ramène sur lui. Il pose ses lèvres sur les miennes, mon cœur tambourine dans ma poitrine, mes mains sont moites. Je les pose sur son buste, il ne réagit pas. Je déboutonne sa chemise, il passe ses mains en dessous de mon sweat. Je m'arrête et me détache de lui.

— Ça va?
— Et ta Angela?
Il sourit.

— Chut la veuve noire.

Il m'attire à lui et se jette sur mes lèvres, sa langue fait frissonner chaque parcelle de ma peau. Je n'avais jamais été embrassée comme ça, j'en suis sûre à cet instant. Il retire mon sweat, la chaleur monte d'un cran. Cette chaleur m'étouffe, je lui retire sa chemise, et j'embrasse son torse, qui m'a tellement fait fantasmer. Il jette sa tête en arrière en se mordant la lèvre. Ce geste finit d'enflammer mon corps. Je remonte jusqu'à ses lèvres. Il nous relève, mes jambes autour de sa taille et nous pose sur le lit. Il se relève pour défaire son jean. Je me redresse et je pose mes mains sur la fermeture. Je touche son anatomie, il a de nouveau ce geste avec ses lèvres. J'abaisse son pantalon, il finit de l'enlever. Il me pousse en arrière, et me déleste du mien. Il s'allonge entre mes cuisses. Il défait mon soutien-gorge et le jette au sol. Je souris.
Il se jette sur mes seins, il joue avec mes nerfs, je gémis sous le contact de ses lèvres sur mes seins. Je sens sa main se diriger vers mon sous-vêtement, il effectue des mouvements de va-et-vient, je me cambre, il accélère , tout en me regardant gémir sous son toucher. Il m'embrasse, je continue de gémir entre ses lèvres. Il retire ma culotte, je fais de même avec son boxer. Il se positionne au-dessus de moi, mes mains sur son buste, ses lèvres dans mon cou. Il enfile un préservatif, je sens son anatomie entrer en moi, je crois perdre tout sens de la réalité. Ses mouvements sont d'abord lents, puis il accélère ses va-et-vient , mon bas ventre se contracte à chacun de ses mouvements. Il ralentit et accélère. Ça me rend folle. Je ne sais pas combien de fois, j'ai prononcé son prénom, il n'y a plus aucune colère dans ses yeux, simplement du désir, qui amplifie au gré de ses mouvements. Il me relève le bassin, et il accélère ses va-et-vient, mon ventre se contracte et je lâche un puissant orgasme, mes jambes tremblent par son intensité, mon corps se remet à peine, qu'un autre me foudroie le corps. Il continue ses va-et-vient et s'effondre.

— Je suis passable?
Il sourit essoufflé.

— J'ai encore envie de toi et tu me parles de passable?
J'éclate de rire.

— Maintenant sous la douche.
— Quoi?

Je n'ai pas le temps de réagir, qu'il me pousse en dehors du lit jusque dans la douche. Il allume le jet d'eau, et nous jette en dessous. Il s'attire à lui et m'embrasse, le désir se réveille à nouveau. Ses caresses ont eu raison de moi. Il me plaque contre la paroi de la douche, et me porte et entre brusquement cette fois, c'est différent, plus bestiale. Ses gestes sont brusques, l'orgasme ne tarde pas à arriver, mon corps se contracte et se relâche, grogui. Il me repose, mes pieds sont flageolants, il me retient par la taille, et m'embrasse avec frénésie. La pression redescend.

Je suis allongée sur son buste, il me caresse le haut du corps. J'ai du mal à réaliser ce qui vient de se passer, j'ai l'impression d'avoir encore fantasmé ces scènes. Mais ses mains sur moi m'ont définitivement convaincu que c'est réel. Je ne rêve pas.

— Laisse-moi t'aider.
Je me redresse.

— En m'épousant et en te faisant exécuter?
— Ça n'arrivera pas.
— Pourquoi ce serait différent?
— Parce que je ne suis pas un homme facile. Tu vas devoir ramer pour m'épouser.

Je pouffe de rire.

— Liam, je ne veux plus de mort autour de moi.
— Je ne peux pas te le promettre, dans le milieu dans lequel nous vivons.
— Tu as tué beaucoup de monde?
— Quelques-uns et je n'en suis pas fière.
— Pourquoi tu n'arrêtes pas?
— Parce que j'ai une veuve noire à épouser.
Je pouffe de rire.

Je sais qu'il ne me dit pas tout.

La veuve noireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant