Farid & Hajar : souvenir détachée

Partie 42 - Deux frères

FARID

Je sortit rapidement de la voiture, Hajar sur mes talons. Je sentais le vent balayait nos cheveux alors que je contournai le véhicule afin de récupérer mon sac dans le coffre.

Hajar : il y a quoi dedans ?

Inutile de lui mentir je savais qu'au fond elle savait ce que contenait se sac.

Moi : de l'argent sale, des armes et de la drogue

Elle fronça les sourcils mais ne dit rien à ma grande surprise.

Wassim : faite gaffe à vous

On a hoché la tête en même temps puis on c'est avancé vers la boîte de nuit de mon frère. Je doutais qu'il soit là mais je ne perdais rien à vérifié.

Hajar me suivait de près, elle gardait un œil sur chaque personne qui passait et les dévisagé comme ci ils étaient à l'origine de la disparition de mes frères.

Je balançais mon sac par dessus mon épaule et tendis ma carte d'accès au garde, celle que Imrad avait refiler à moi et Rezak afin de pouvoir entrer comme on le voulait et surtout le prévenir en cas d'urgence dans le quartier. C'était plus une carte de secours plutôt qu'une carte d'invitation mais ça faisait nettement l'affaire puisqu'elle nous permettait d'entrer aujourd'hui dans la boîte.

Garde : Imrâd est attendu depuis plus d'une heure dans son bureau avec une femme au cheveux noir mais on ne l'a pas vu en sortir depuis

Je fronçais les sourcils.

Garde : on a fouillais tout les recoins mais il est introuvable comme s'il c'était volatilisé avec la femme

J'entrai dans la boîte et me positionner à côté du garde tout en regardant les clients faire la queue afin de pénétrer dans l'enceinte de l'établissement. Une chose me disait que mon frère était en mode survie. J'étais surpris qu'il est eu rendez vous avec une femme, habituellement il ne faisait affaire qu'avec des hommes. Et ils sont tous haut placées, soit riche soit de bon trafiquant de drogue. Ce qui signifiait qu'une chose : la femme faisait partie d'une de ses deux catégories mais j'avais la net impression qu'elle n'était pas seulement riche mais tout simplement une trafiquante de drogue.

Enfaite je dirais même qu'elle faisait potentiellement partie de la mafia en regardant l'écran que le garde me montrer, je vis une femme de dos à la silhouette élancée et au carré noir plongeant, discuter avec Imrâd. J'analysai l'état de mon frère et je remarquais qu'il était tendu et qu'il serrait les poings. La dame elle croisais les jambes avec élégance et s'installer confortablement dans le siège face à lui.

Il était le PDG de sa boîte mais on aurait dit que c'était elle qui contrôlait les lieux.

Hajar : c'est Maria

Je me retournai et interrogeait Hajar du regard. Je savais pertinemment qui était Maria. C'était d'après elle « sa cousine » mais je ne pensais pas que Russo était le père biologique de Hajar. Mais il y avait se doute en moins parce qu'il se ressemblait vachement et avait les mêmes yeux. Mais c'était encore trop tôt pour en parler. Elle était dans le déni elle ne pensait pas beaucoup à lui et voulait oublier ce qu'il lui avait dit.

Mais elle ne faisait que nier l'évidence.

Hajar : la cicatrice a son épaule