FARIDJe ne m'étais pas préparer à ce que la propriété de Anas ne soit pas encerclé pas des hommes et cela rendit ma respiration plus difficile car je sus que tout cela n'avais rien de normale.
Je lançai un regard à Jhad qui pensait comme moi en vue de son regard des plus inquiet.
Jhad : c'est pas normale... y'a un truc qui va pas
Je passais par dessus le grillage et m'approchai de la maison. Je vis du mouvement dans celle-ci et le regard d'un de ses hommes se braqua immédiatement sur moi a travers les vitres transparente de la baraque. Sa main trembla alors qu'il maintenait son téléphone contre son oreille et il raccrocha presque immédiatement en m'observant de ses grands yeux inquiet. Je passais mes yeux aux cribles en essayant de voir dans les alentours une touffe de cheveux bouclés mais je ne vis rien et mes muscles de bandèrent prêt à lui arracher le crâne.
Elle est où putain ?
Je brisais la vitre et entrai sous son regard ébahis. Je me jetai sur lui et l'attraper par le col de sa chemise à fleurs. Bizarrement ses collègues et son chef n'était pas là mais alors où étaient-ils ?
Moi : elle est où putain de merde ?!
Mon cousin et mes frères de cœur se positionnèrent autour de moi tels un mur de brique et fusillèrent le crâne rasé des yeux.
Celui-ci cligna rapidement des paupières soudainement effrayé par notre attroupement. Il devait assurément sentir la menace qui émanait de mes gars. Je la sentais également et cela me donna encore plus de force. Plus de rage.
Je le secoué sans ménagement et il grimaçais de douleur tant je serrais son gros bras droit.
Moi : ouvre t'as gorge sal chien ou je te jure que je te plombe
J'étais presque sérieux. Ma rage avait dépassait toute limite, à ce stade j'étais capable du pire.
Sa mâchoire tremblota.
: t...tout...
Il inspira pour se donner du courage et je resserrais mon emprise sur lui. Son visage perdu en couleur. Il était désormais aussi blanc qu'un cachet d'aspirine.
: tout...les...les hommes... son a sa recherche...
Je penchai ma tête sur le côté et le fixais de mon regard le plus noir. J'espérais avoir mal entendue.
Moi : comment ça partit à sa recherche ?
Il commençait à avoir du mal à respirer. Je le plaquai contre le mur et lui serrais la gorge. A ce moment là je n'avais plus aucune patience. Ils m'avaient tous poussé à bout ses derniers temps et ma haine n'attendait qu'à être libérée de ses chaînes.
Moi : j'espère pour toi que c'est une blague fils de pute parce que crois moi je ne rigole absolument pas avec toi là
: elle... a disparue...hier soir... je-j'ai...je... ne sais pas...ou-elle... est
Je le cognai violemment contre le mur et du sang s'écoula de sa tempe mais je m'en moquais. Je voulais juste savoir où elle était passé. Je ne pouvais pas imaginer qu'elle avait disparue comme ça.
VOUS LISEZ
Farid & Hajar : souvenir détachée
Casuale[ CHRONIQUE TERMINÉE ] Résumé : Vivre dans la douleur. Telle était la vie d'Hajar depuis que son amour de jeunesse l'avait tristement abandonné sans aucune raison valable. Hajar avait essayé de tenir le coup et d'oublier cette amour passagère mais...