Partie 48 - Jawed

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JAWED

Je jette un coup d'œil à mon frère qui viens de récupérer notre location de voiture. Nous somme arrivée à Salvador depuis une trentaine de minute déjà et nous avons récupéré cette belle Audi 4 afin de nous déplacer dans la ville sans grand effort.

Nasser : pas mal la voiture

Nasser siffle d'admiration devant ce nouveau bébé. Je ne peux qu'être d'accord avec lui cette voiture est vraiment un monstre.

Jhad : allez montée vous deux on a pas de temps à perdre

J'ai ricanais face au stress de mon frère et je me suis mis à côté de la porte conducteur en tendant ma paume de main à Jhad afin qu'il me donne les clefs.

Jhad : jamais de la vie tu conduis toi vas-y monte derrière

J'ai froncé les sourcils.

Moi : j'ai 19 ans je te rappel et j'ai eu mon permis y'a 1 an

Il m'a donné une claque sur le derrière de la tête et il m'a forçait à m'installer derrière.

Moi : vous croyez trop j'suis votre petit toi et Nordine mais c'est bon j'ai plus deux ans

J'ai entendu le rire moqueur de Nasser qui m'a salement fait froncé les sourcils. Il pouvait bien rire moi au moins je ressembler pas à Browser dans MarioKart.

Jhad : Nasser sort ton ordinateur et retrace l'itinéraire de l'avion j'aimerais bien savoir dans quelle aéroport ils ont atterris au lieu de ricaner comme un fils de pute

Nasser : c'est comme ci c'était fait bébé

J'ai suivis le mouvement de dégoût de mon frère des yeux et j'ai finir par exploser de rire lorsqu'il a eu tellement l'air dégouté qu'il a grimaçait sous l'œil séducteur de Nasser qui en faisait littéralement des tonnes pour agacer Jhad. Et ça marchait tout le temps. C'est ça qui était drôle.

Enfin bon honnêtement ne me demander pas pourquoi je suis venue, moi-même je ne sais pas à vrai dire. En tout cas de ma fenêtre je peux vous dire que le Brésil c'est vraiment quelque chose de magnifique. Ces paysages, ça m'a rappelé l'été où on jouer au foot avec Farid et ses cousins.

C'était pour moi une époque où malgré la misère dans laquelle on été bah on été quand même heureux et il n'y avait pas encore les galères de la vie qui nous tomber dessus.

On étais jeune et innocent et la cruauté de notre monde nous atteignez pas.

Nasser : d'après mes recherches...ils sont atterris au même aéroport que nous enfaite

J'ai haussais un sourcils, écoutant attentivement les infos cruciales que nous transmettait Nass'.

Jhad : comment ça ?

Nasser a soupirais lui montrant l'ordinateur de l'index.

Nasser : ils sont atterris à l'aéroport international de Salvador et ensuite leurs itinéraires est flou mais je peux peut être essayer de trouver l'adresse de la maison principale de Russo là où j'ai réussis à les localiser mais je ne vous promet rien...le système est brouillé

Farid & Hajar : souvenir détachéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant