Chapitre 35 Gros comme une maison

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Nous nous sommes rendus chez Derek et il n'était pas très content de me voir dans ses pattes une nouvelle fois. Je lui tire la langue, il grogne et Peter se met à rire. Scott soupir alors qu'on se penche sur les plan de la Beacon hill first national bank et je pointe du doigt la salle des coffres.

-Donc si on en croit les dires d'Isaac les louveteaux sont retenue dans la salle des coffres. (M)

-Les cambrioleurs sont passé par une trape de ventilation du toit qui relis la salle des coffre et ils ont fait un trou pour ensuite faire sortir l'argent dans la nuit. Il va nous faloir... (Stiles)

 Je pose ma main sur la mienne et il me regarde.

-Tu n'as pas besoin de ça. L'espace est de combien? (M)

-Environ 10 à 8 cm... Pourquoi? (Stiles)

-Il ne me faut pas plus pour traverser le mur et le matériaux de construction du mur est en quoi? Se trucs sens le tracnard à plein nez. (M)

-Tu n'iras pas. (Derek)

-J'irais avec ou sa ta permission Derek. Si les alpha des Decalion se pointe alors tu ne pourras rien faire sauf si je fais diversion. Decalion ne pourra pas te surveiller tellement il sera obnubilé par ma présence. La dernière véritable alpha de la meute du claire de Lune quel aubaine? (M)

-Elle a raison... Tu as besoin de toute l'aide possible pour les retrouver. (Peter)

Derek grogne encore une fois et il me tourne vers lui en attrapant mon poigner. Je soupir en attrapant le sien et d'un mouvement vif je le propulse loin de moi. Il se relève en me regardant, je suis en face de lui et le prend de haut.

-Fais rentrer dans ta petite tête que tu es seule et que tu ne peux pas cracher sur l'aides que les humains et les personnes que tu n'aimes pas peuvent t'apporter de l'aide. Grandis un peu Derek, tu ne peux pas jouer les fines bouches alors que tu es seul et on ne peut rien faire tous seul. (M)

Je retourne vers la table.

-Autre chose touche moi encore une fois et je te coupe la main. (M)

Peter me regarde surpris et je lui souris.

-Pour moi cette salle des coffres est un piège, pourquoi est-ce qu'ils les ont enfermé là précisément et pendant 3 mois pour ensuite leur die qu'ils seront mort à la prochaine pleine Lune? (M)

On se regarde avec Peter en réfléchissant, Derek se relève et Stiles cherche frénétiquement dans un bloc de feuille se que je lui ai demander.

-Les fauve du Colisée... (Peter)

-En les empêchant de se transformer à la pleine Lune ils les ont transformé en machines à tuer qui vont tuer tous se qui bouge à leur prochaine pleine Lune. (M)

-Le matériaux utilisés c'est... De l'Hécatolite ou pierre de Lune... (Stiles)

-C'est une pierre qui reflète le claire de Lune donc ils vont être encore plus sauvage qu'à l'habitué... Je ne viendrais pas avec vous... (Peter)

-Chochote, reste à l'abris dans le fort avec Stiles et pas de bêtise tous les deux. (M)

-Oui maman. (Peter)

Je roule des yeux et il me sourit amusé.

-Bon, on y va les garçons. (M)

-Faite attention à vous. (Stiles)

Je l'embrasse puis tourne les talons.

-On sera prudent. (M)

Je Scott prend sa moto et je monte avec lui.

-Tous va bien? (Scott)

-Pour l'instant.... Mais je sens qu'on va avoir besoin de renfort pour la suite... (M)

-On va s'en sortir Réby. (Scott)

Je passe mes bras autour de lui et il démarre en suivant la Chevrolet de Derek. On se gare à quelques pâté de maison et nous finissons à pied. Je soupir et saute sur une échelle suspendu. Je monte à la gouttière et les garçons me suivent.

-Ça a vraiment l'air facile quand je te regarde faire. (Scott)

Je lui jette un coup d'œil par dessus mon épaule et je lui souris.

-Parce que c'est facile pour moi. J'ai déjà escaladé des parois plus glissantes que celle si. (M)

Je retourne mon regard vers le haut de l'immeuble et je fais un grand bon pour attraper une corniche un peu plus haut j'atteins ensuite en quelque mouvement le toit de la banque. Je souris sournoisement aux deux loup puis je continus mon chemin en me souvenant de se qu'à dit Stiles sur la position de la trappe.

-Tu es avec Stiles maintenant? (Derek)

Je me redresse et regarde Derek en mettant mes mains dans mon dos.

-Et qu'est-ce ça peut te faire? Je crois me souvenir que tu en avais rien à faire de moi vu les 3 mois ou tu as passé à m'ignorer dans les règles de l'art. Même Peter n'a jamais osé cela, se petit chenapan avait beaucoup trop peur de ma colère et certain son trop idiot pour me craindre. (M)

Je tourne mon regard vers la Lune qui est haut dans le ciel et je souris d'un air absent. Les rayons de Lune sont dévoilé par les nuages qui s'éclipsent et éclaire le toit. Je ferme les yeux un instant pour savourer ses doux rayons dont je n'avais pas eu l'occasion depuis longtemps de pouvoir de nouveau les sentirent sur ma peau. Je soupire d'aise et je tape dans la trappe pour ensuite sauter dedans sans attendre la moindre réponse ou excuse de la part de Derek. Nous nous faufillons dans l'étroit passage et on arrive au bon endroit. Je pose ma main à plat dessus puis les garçons se mettent à taper dessus comme si c'étais un sac de frappe. Je soupir et ils finissent par s'arrêter.

-Un seul suffit... (M)

Je frappe un bon coup dedans et le mur s'écrase sur le sol. Je passe par le trou et nous restons sur nos gardes alors que les deux loups face à nous sont sur les nerfs et très, très très assoiffé de sang. Je regarde ensuite avec attention alors que mes deux amies sont concentrés sur nos acolytes. Je vois une poudre noir qui fait tous le tour de la pièce et je finis par soupirer

-Un piège aussi gros qu'une maison... (M)

Je me poste devant la porte du coffre qui finit par s'ouvrire et Mme Morell une de nos professeure ouvre la porte en répendant de la poudre de sorbier.

-Bonjour madame Morell. Je vois que vous traîné dans les endroits les plus lugubres de Beacon hill. (M)

Son regard se fixe sur moi avec surprise alors que j'attrape vivement sa gorge. Mon bras avait passé sa barrière alors qu'elle était dressé et elle se débat dans ma main en gémissant. La terre se met à gronder alors que je serre un peu plus la gorge de la prof.

-Maintenant je comprend certaine chose... (M)

La Louve du claire de LuneOù les histoires vivent. Découvrez maintenant