Chapitre 69 : Manipulations Furtives

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Au lever du jour, alors que Séoul était encore drapée dans les bras frisquets de l'hiver, Na-young se trouvait dans la véranda, inspectant l'installation du chauffage qu'elle avait commissionnée auprès du jardinier.


 Elle souhaitait ardemment que ses plantes puissent résister à l'implacable morsure du froid, qui venait de s'abattre sur la ville, faisant fréquemment plonger le mercure sous le zéro.


 Échangeant sur le monde végétal, un sourire éclot sur ses lèvres lors des félicitations du jardinier : 

.    « Na-young, c'est admirable. Vous avez vraiment le don pour les plantes. »


Touchée, elle répondit avec modestie : 

« Merci, mais c'est en grande partie grâce à votre soutien, monsieur Cho. Votre présence, surtout durant les canicules estivales, a été précieuse. »


Le jardinier secoua la tête, son humilité aussi naturelle que les feuilles balayées par le vent : 

.  « Je me suis contenté d'arroser. Le mérite vous revient tout entier. »


En sortant de la véranda, verrouillée soigneusement derrière eux.


Monsieur Cho rompit le silence, un brin mélancolique : 

.  « L'année scolaire touche à sa fin, et je me demande qui veillera sur la véranda. J'espère qu'il y aura quelqu'un avec votre passion pour les plantes... »


Na-young fronça les sourcils, absorbée par la réflexion : 

.  « Il faudrait peut-être renforcer les annonces... Prendre des photos attrayantes, et suggérer des points bonus pour ceux qui s'engageraient dans cette responsabilité. »


Monsieur Cho approuva :

.    « Pas mal comme idée. Il faudra en discuter avec le corps enseignant... »


Soudain, son téléphone émit une mélodie qui rompit leur conversation. Après un bref échange, il s'excusa précipitamment, 

.  « On a besoin de moi, excusez-moi... », et partit d'un pas pressé.



Descendant l'escalier majestueux, Na-young sortit du bâtiment du lycée et, alors qu'elle se dirigeait vers la bibliothèque, un appel retint son attention.

Elle se retourna pour découvrir Yong-ha qui s'avançait vers elle, un objet à la main.

 Ils échangèrent une salutation cordiale avant qu'il ne lui tende l'objet avec un sourire timide.


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Sous un Autre Jour 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant