PRÉ NDA : Je n'ai vraiment pas du tout eu le temps de corriger ce chapitre, désolé de ce problème. Mais je vous avoue que je suis un peu dépassée, alors je vous laisse avec ça, bonne lecture. 🤍Présent.
États-Unis
Memphis, TN.
17h00.Layne.
Mon téléphone se cale entre mon épaule et mon oreille que je brandis, essayant d'écouter ses paroles alors que les pneus de ma voiture s'entendent pendant le long du village, mes mains tiennent fermement le cuir avec sévérité alors que j'écoute attentivement les paroles de mon ami, Evans.
Plus que dix petites minutes.
— Normalement, je t'ai envoyée le dossier sur cet enculé, crache t-il, la mine ennuyée alors que mon pied appuie sur la pédale d'accélération.
— Merci beaucoup. Et pour l'argent, grince-je finalement, prenez-le. Et laissez-moi au moins 30% de la part, ça ira.
Péniblement, mon ami se racle la gorge, sa voix gênée et un peu fendu résonne dans le silence presque encombrant de ma voiture propre :
— Non, non. Je te rappelle que toi, c'est toi le chef tout de même, insiste t-il d'un ton déplorable et une peu plus sérieux, tu prendras une part plus conséquence de 5%.
Amusé, un ricanement m'échappe alors que je marmonne des choses que moi-même j'ai du mal à comprendre tellement j'ai mal articulé.
Ce constat me fait craquer des doigts, ça m'énerve, d'habitude, je reste tout le temps calme, et imperdable sur chacune des décisions importantes pour ne pas jouer au con : et pouvoir jouer l'insolent insupportable. Ce rôle me va bien.
— Je suis milliardaire, pauvre con. Prend l'argent, sale crevard, fredonne-je d'un ton moqueur alors que mon guidon tourne à gauche, continuant ma lancée, provocateur : Histoire de pouvoir t'acheter des cacahuètes, pas que tu finisses à la rue.
— Le crevard t'emmerde, milliardaire, va ! crache t-il avec une pointe d'amusement dans la voix qui ne passe pas inaperçu dans mes oreilles, je vais t'envoyer mes rats d'égouts. Tu m'insulteras plus jamais.
— J'attends de te voir alors, réplique-je, alors que je suis sure que ses dents mordent faussement son poing pour penser qu'il est en rogne.
— C'est ça, бедный ублюдок. (pauvre con.) siffle t-il alors que je raccroche précipitamment sans même prendre le temps de dire au revoir.
Quel imbécile.
Je gare ma voiture, et sort directement mon parapluie quand la pluie martèlent l'entièreté de la ville dont les lumières éclairent presque bien les alentours.
Quel merde, mais...
J'en étais sûre, je longe le couloir grand de ma maison, j'avance de mes pas en ayant soigneusement ranger mes chaussures dans un compartiment fait exprès pour cela. Je range mon parapluie en défroissant les plis, et décide d'abaisser la poignée en retirant mes gants en cuir que j'entremêle pour les accrocher.
J'enlève un bouton de ma chemise quand je m'assoie sur une de mes chaises bien propres, et prend la télécommande entre mes doigts.
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Just to Lie.
Short StoryElle, perdu dans sa noirceur qui se diluait dans son cœur. Layline, encore une fois, trop évanouie pour tenter de penser à la vraie réalité. Un traumatisme s'insère dans sa vie, la laissant à une dépression sévère. Son beau-père rend sa mère et Layl...