Chapitre 17 - Mathieu

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Préparez-vous pour un chapitre long mais intense à venir. Ce chapitre est poignant et captivant, il est d'une profondeur émotionnelle importante.

Alors bonne lecture. 🫶🏽
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      Je m'installe dans les gradins pour la regarder passer son test. Je sais qu'elle va tout déchirer, je n'en doute pas un instant. Mais elle, elle doute d'elle-même malgré tous nos entraînements. Je ne comprends pas pourquoi elle se met une telle pression, ce n'est qu'un test, et au pire des cas, elle pourra redemander une extension supplémentaire. Ils lui accorderont sans hésitation après sont passé.

L'équipe pénètre sur le terrain, chacune divisée en petits groupes. Elles sont toutes là, à discuter, rire ou se faire des passes, mais Miller, elle, reste seule en arrière, avec une expression contrariée sur le visage. Elle a l'air préoccupée, cherchant autour d'elle, tout en triturant ses doigts, comme si la panique s'emparait de son corps, comme si la crise d'angoisse était sur le point de pointer le bout de son nez.

— Tu vas tout déchirer, Mérida, arrête de réfléchir ! Hurlais-je, à plein poumon, depuis les gradins, espérant que ma voix parvienne à calmer sa panique.

Elle relève brusquement les yeux pour me fixer. Quand nos regards se croisent, son visage se détend lentement pour laisser place à un sourire. Je lui adresse un signe de tête pour lui demander si tout va bien, qu'elle me renvoie immédiatement. Soudain, mon téléphone se met à vibrer.

Je m'apprête à quitter l'Arena, descendant les marches du gradin tout en cherchant du regard Miller pour la prévenir de mon départ, quand je l'aperçois, cette dame, elle me paraît si familière, si

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Je m'apprête à quitter l'Arena, descendant les marches du gradin tout en cherchant du regard Miller pour la prévenir de mon départ, quand je l'aperçois, cette dame, elle me paraît si familière, si... je ne sais pas. C'était comme si je l'avais déjà croisée quelque part, comme si... elle ressemblait à.... ma tante... Mais ce n'est pas possible, elle est partie il y a des années. Si elle était revenue dans le coin, elle m'aurait déjà contacté. Cette femme et sa ressemblance m'ont perturbé pendant de longues minutes avant que je puisse enfin m'éloigner et rejoindre les gars aux vestiaires.

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Campus de l'UCLA
16 h 30

Après cette matinée agitée et des cours ennuyeux, enfin la cloche sonne et me sort de mes pensées. J'ai passé toute la matinée à attendre de voir Miller, à savoir si son test s'était bien passé. En la déposant ce matin sur le terrain, la voir se sentir en sécurité grâce à ma présence m'a donné un sentiment d'utilité. Pour une fois, je savais que ma présence apportait du réconfort à quelqu'un, plutôt que d'être la source de son malheur.

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