Chapitre 23

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Bonjour tout le monde !

Vous vous en doutez (ou pas), nous arrivons bientôt à la fin de cette partie. Ce chapitre est l'avant dernier de cet arc ^^ Ensuite, je ferai une pause d'un mois, comme d'habitude, avant de reprendre la publication de l'histoire.

Par ailleurs, je vous informe que la campagne pour le tome 4 de Papillon débutera la semaine prochaine ! Ce sera l'occasion de m'aider à financer cette suite, mais aussi d'acquérir les précédents tome.

Par ailleurs, je vous informe que la campagne pour le tome 4 de Papillon débutera la semaine prochaine ! Ce sera l'occasion de m'aider à financer cette suite, mais aussi d'acquérir les précédents tome

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Soudain, la rame déboula en trombe sur le quai. Rémi l'entendit depuis les escaliers qu'il dévalait avec l'aisance des personnes qui ont passé de longues années à parcourir Paris en métro. Il se précipita alors avec d'autres voyageurs aussi pressés que lui vers le premier wagon à sa portée et s'y glissa avec un soupir de soulagement.

Il était en retard. Cela ne faisait absolument pas partie de ses habitudes, et il en éprouvait d'ailleurs une vive contrariété. Il avait pourtant organisé sa journée de façon à quitter son cabinet pile à l'heure, mais entre une patiente soumise à des problèmes sur sa ligne de métro et un autre qui estimait le respect des horaires bon pour les chiens, Rémi n'avait pas réussi partir dans les temps.

Le kinésithérapeute s'était d'ailleurs fâché avec cet homme dont il n'assurerait plus les soins dorénavant. Ce n'était pas la première fois qu'il lui faisait le coup et sa patience atteignait des limites. Sans son collègue Eric, ils y seraient d'ailleurs encore. Rémi n'aimait pas faire appel à lui pour résoudre ses problèmes, mais non seulement son ami avait une carrure bien plus impressionnante que la sienne, mais en plus, il n'aurait jamais supporté qu'il manque son train et annule son week-end par la même occasion.

Rémi se trouvait à présent dans la rame métro en direction du shop de sa copine, donc il tenta de retrouver un tant soit peu de calme. Il avait passé une très mauvaise journée, qui était en réalité à l'image de sa semaine. En effet, le mauvais temps s'était abattu sur l'Île-de-France, provoquant des pluies récurrentes et une chute drastique de la température. Rémi avait donc eu le déplaisir de rouler presque tous les matins sous la pluie avec la peur au ventre, car s'il se trouvait bien à l'abri dans sa voiture, ce n'était pas le cas d'Isaline et Sacha qui circulaient sur leur moto quelle que fût la météo.

Aucun des deux n'avait eu d'accident, mais Sacha était tombé malade et avait passé son mercredi cloué au lit. Un hasard du calendrier avait rendu Stephen indisponible pour s'occuper de lui, et comme Isaline devait tatouer une personne étrangère qui avait fait le déplacement depuis l'Italie, c'était Rémi qui avait pris sa journée pour soigner le tatoueur. Celui-ci l'avait évidemment imploré de retourner travailler, mais il tenait à peine debout et n'avait donc pas eu voix au chapitre. Dans l'après-midi, Stephen les avait rejoints en panique car son fils ne tombait jamais malade, et dans la soirée, c'était Andrew qui avait franchi la porte comme une brute, fou d'inquiétude.

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