/!\ Attention ! J'ai dépublié les deux premiers tomes car ils se trouvent à présent sur Amazon ♥
"Pourquoi tu t'es tatoué un papillon sur le coeur ?" - "Parce que je rêvais d'être un papillon." - "Pourquoi ?" - "Parce que je voulais m'enfuir par la...
Je profite de ce chapitre pour vous annoncer que le Ulule du tome 1 de Papillon, qui me permettra de financer sa publication en format papier sera lancé en avril 2022 ! J'espère que vous apprécierez cette version <3
Ce Ulule ne permettra pas de couvrir tous les frais. En réalité, il m'aidera surtout à imprimer les livres, de commander les goodies et à mettre de côté pour la publication du tome 2 et payer ses futures correction, mise en page et illustration, ce qui représente des frais conséquents. La préparation du tome 1 a entièrement été réalisée à mes frais, avec l'aide évidemment du Tipeee qui a été un précieux soutien.
Si vous souhaitez m'aider à payer les illustrations (oui, les sous du Tipeee servent à cela actuellement), je vous invite à nous y rejoindre, pour des chapitres en avance et autres petits contenus exclusifs ^^ Vous y trouverez notamment l'illustration de la couverture <3
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https://fr.tipeee.com/ludivine-anderson-auteure
Sur ces mots, je vous souhaite une bonne lecture !
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« Salut Bao. Voilà, il s'est passé presque une semaine depuis notre dernière discussion. J'espérais que tu viennes me parler parce que tu m'as beaucoup déçu et blessé samedi dernier, et j'attendais au moins des excuses pour ça. Je n'aime pas rester sur un conflit, un silence ou un malentendu, alors je fais le premier pas et je te recontacte. J'espère que tu vas bien et que tu me répondras. »
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Assise à côté de lui, à même le sol, Soraya relisait compulsivement ses notes. Ce n'était pas sans rappeler la triste période du baccalauréat que chacun vécu comme la pire série d'examens de leur vie, sans s'imaginer que ce qui les attendrait plus tard se révèlerait bien pire. Et comme à l'époque, Soraya enchaînait les courtes nuits et les matinées de révision intenses aussi inutiles que stressantes.
Vince, de son côté, échangeait des messages avec ses parents qui, chose rare, s'inquiétaient pour lui et ne cessaient de lui partager leur soutien. Leur fils unique ne leur avait jamais causé le moindre ennui et ramenait toujours de bonnes notes à la maison. Ils ne se préoccupaient donc guère de son quotidien, encore moins depuis la prononciation de leur divorce. Or, la veille, quand Vince leur expliqua qu'il regardait un film de Noël au lieu de réviser, sa mère, à Londres, comme son père, dans le sud de la France, passèrent en mode panique. S'il avait su qu'il suffisait de cela pour attirer leur attention le métis en aurait profité depuis longtemps.
« Ah, Andrew est là, dit Vince en remarquant son meilleur ami au loin. Arrête de relire tes notes Soraya, ça ne va pas te sauver la mise ce matin.
- Arrête ! Je n'aurais jamais dû regarder ce film nul avec vous hier soir, j'aurais dû réviser comme c'était prévu !
- T'avais déjà bien révisé avant, et c'est pas comme si tu ne connaissais pas un ou deux chapitres, tu les as tous appris, répondit Vince en se levant. Allez, arrête ça, tu te fais juste du mal, insista-t-il avant de lui tendre les mains pour l'aider à se lever.
