EN QUÊTE (fanfiction)

12. J'aime Lucie

- Ah maintenant que vous êtes enfin réveiller, je vais pouvoir aller chercher le fer à lisser que j'avais oublié tout à l'heure. Elle marchait vers ma salle de bain. Il est où? Qu'est ce que vous faites? Ma soeur était en plein milieu de la chambre quand elle se retourna et bien sûr pris par surprise, nous nous étions éloignés. Oups désolé, je repars faites comme si je n'étais jamais venue, elle me fit un petit clin d'oeil en sortant.

Je bouillonnai de rage. Elle commençait à me faire péter un câble ce matin. Nous étions trop gêné pour reprendre ce moment juste parfait que ma soeur venait de briser. Je me levais donc en rebaissant mon haut et en me dirigeant vers mon miroir. Je pris un élastique et attacha mes cheveux dans un chignon vite fait. Justin était juste à côté de moi assis sur le rebord de ma baignoire.

- On dirait un poulpe tellement tu as de cheveux!

Je roulais des yeux en rigolant à sa remarque et attraper un chouchou pour attacher ses cheveux qui lui tombé à chaque fois sur son visage. Il n'opposa pas de résistance, il écarta légèrement les jambes pour que je puisse me glisser entre et donc avoir plus facilement accès à sa tête. Nos jambes se frôlait et j'avais des frissons qui courait comme des fourmis des tout mon corps. Je me reculais légèrement pour admirer le résultat.

- Tu t'es vu avec ta petite chouquette.
Je lui donnais une petite tape et il se leva de toute sa hauteur pour me faire peur. Puis il fit un geste stéréotypé des filles qui lance leurs cheveux en arrière puis il se dirige à vers ma porte pour sortir.

- Si le poulpe veut bien bouger ses petites fesses en bas, parce que j'ai faim!
- Ça y est tu dors deux nuits ici et tu te crois chez toi?
- Oui j'aime bien, c'est cosy (dit il avec son accent américain, j'avoue que ça me faisait fondre) chez toi. D'ailleurs ils sont où tes parents?

Nous marchions dans le couloir en direction de la cuisine pour prendre le petit déjeuner. Je me raclais la gorge, c'est vrai que j'avais peut être un peu oublié de lui dire, ce qu'il se passait dans cette maison.

- Ils sont partis pour leur boulot durant deux semaines, juste quand tu as débarqué dans ma baignoire.
- Ils vous laisse comme ça sans personne pour vous surveiller?
- Bah non, je suis majeur et tu crois que j'aurais appris comment le parkour si ils avaient été là?
- Quoi!? Il avait l'air d'avoir peur pour nous mais aussi d'être choquer par l'attitude de nos parents que je trouvais plutôt cool, comme ça on pouvait faire ce que l'on voulait. Mais c'est pas normal, vous êtes des filles si il arrivait quelque chose-
- On se battrait! Tu crois qu'on s'est pas parce qu'on est des filles qu'on arriverait pas à se défendre.
- On a fait de la boxe et du karaté, Line pendant 13ans et moi seulement 8 mais cest deja ça, c'était la seule condition pour qu'on arrête d'avoir tata flageolet qui viennent nous garder! Rajoute ma soeur qui passait devant nous.
- Et tu es là donc il n'y a plus de problème, lui fis je en lui tapant l'épaule pour le rassurer.

Il me regardait comme impressionné par ce qu'on venait de lui dire.

- Il ne savent pas que tu fais du parkour avec toutes tes blessures? Et tu as fait de la boxe, toi? Me demanda tu il plus bas.
- Bien sûr et ils sont assez naïfs, je trouve des excuses, dis je en haussant les épaules, un rien pouvait épaté la genre masculine.

On s'assit sur les tabourets du bar, tout étant déjà sorti, ma soeur voulait se faire pardonner. Pendant que l'on mangeait, ma soeur et Mathilde sont venues nous parlaient.

- Desolé pour ce matin ce n'était pas du tout voulu, dit Lucie.
- La première ou la deuxième fois? Demanda Justin, j'explose de rire par sa réflexion et surtout en voyant leurs têtes devinrent rouges de hontes.
- Les deux. Dit Mathilde. On cherchait juste le fer à friser, euh non... à lisser.

Elles se perdaient même dans leur explication, elles nous espionnaient plutôt.

- Mais oui on vous croit, lançais je sur un ton ironique.
- Vous ne nous espionniez pas plutôt? Dit Justin à croire qu'il lisait dans mes pensées.
- Et vous, les amoureux, on vous a pris la main dans le sac!

Je devais devenir toute rouge en repensant à ce presque baiser, non aboutit ce qui était très frustrant. Aucun de nous deux n'osaient dire quoi que ce soit, je sentais son regard pesais sur moi, je tournais donc ma tête vers lui. Je le voyais me faire une tête de "tu te débrouilles, là je peux plus rien faire et puis c'est ta soeur a toi de la faire taire".

- Et oui, on fait moins les malins tout de suite!
- Tape là, c'est qu'elle étaient fières d'elles de nous avoir cloué la bouche.
- C'est ça rigolaient bien tant que vous le pouvez, on verra qui riront les derniers..., dis je.