Snake Daddy

Chapitre 2, part 1

« - Asseyez vous. Monsieur Morisson m'a fait parvenir vos convocation chez l'infirmière. J'espère que vous avez tous vos carnets de santé. Bien, quelqu'un pour distribué ? Et je veut du silence. Y a-t-il des questions ?

– On est obliger d'y aller ?

– Oui vous êtes obliger.

– On va faire des vaccins ?

– Levez la mains pour poser une question. Et non on ne va pas vous faire une visite de santé. L'infirmière va vous poser des questions pour remplir une fiche à votre nom et ainsi permettre aux professeurs et à la direction de mieux vous suivre et vous comprendre.

– Et si on à pas envie de répondre ?

– La main ! Depuis quand vous prenez la parole comme ça ? N'importe quoi. Vous ne répondez pas c'est votre problème ça Monsieur Gargio. Il est conseillé de répondre parce que l'infirmière est tenus au secret professionnel et que ça peut excuser certaines choses. Par exemple l'année dernière un élève a été diagnostiquer dépressif et grâce à ça on l'a remis dans le droit chemin et il va mieux. On ne fait pas ça pour vous embêter mais pour vous aider. Maintenant sortez vos manuels. »

Une fois le cours de Français terminer je me rue dans la récréation mais avant même que je soit au casier un texto m'arrête dans ma course :

De Amour à Mike :

Taloyr, tu as deux secondes pour ramener ton adorable petit cul dans tu sais quel toilettes. Je t'aime.

J'ouvre la porte de la cabine, il est là. Je me pend à son cou et il m'embrasse. Quand je ferme les yeux je sent ses mains me caresser les joues.

« - Je t'aime ...

– Moi aussi.

– Pourquoi tu m'as envoyer ce texto ?

– J'avais envie de te voir et de t'embrasser.

– T'avais pas besoin d'être agressif comme ça tu sais.

– Désolé, mais j'étais pressé.

– Tu t'en va déjà ?

– Non, j'étais pressé de te voir.

– J'ai rendez vous avec l'infirmière ce soir.

– Pourquoi ? Ça va pas ?

– C'est la journée d'identification ou je sais plus quoi. Pour un entretient personnel afin de faire une genre de fiche. Je comprend pas trop l'utilité.

– Ah oui, c'est vrai. Moi c'est jeudi. Tu me soufflera les réponses ?

– T'es con.

– Me dit pas de choses méchantes ou je te boude. Bon, ça va bientôt sonner. Il faut y aller.

– J'en peut plus de te voir que 15 minutes. J'ai envie que tu vienne à la maison. Mais mes parents veulent pas.

– Vendredi soir tu vient dormir chez moi et on te ramène chez toi samedi après-midi. Ça te va ?

– Ouais, génial. J'en parlerais à mes parents, ça devrait pas leur poser problème.

– Allez courage, demain on est mercredi et on passera tout l'après-midi ensemble. OK.

– J'ai hâte. A tout à l'heure amour.