Chapitre 5, part 2

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Aujourd'hui je me suis levé, la fatigue collé au visage. J'ai rapidement fait un brun de toilette, je me suis habiller, j'ai déjeuner et envoyé un texto à Jonathan avant de vérifier mon porte feuille/ porte monnaie.

De Mike à Amour :

Je t'aime, à ce soir. Il me tarde de te revoir.

Et ce n'est que quand j'ai été prêt à partir que j'ai réaliser la tête dans le cul qu'il était seulement 7h du matin et que la conférence ce tenait cet après-midi à partir de 14h30. Mon visage à eu un sourire ironique et puis un petit rire nerveux. Et merde .... MERDE !! Pourquoi ça n'arrive qu'à moi ! Oh fuck ! Je me suis jeter dans le canapé et j'ai regarder la TV jusqu'au lever de mes parents quelques heures plus tard :

« - Bonjour p'pa, bonjour m'man.

– Il est tard, qu'est-ce-que tu fais encore ici ? Tu ne devais pas aller à ton truc ?

– Si mais c'est cet après-midi.

– Alors pourquoi tu n'as pas fait la grasse mâtiné ?

– J'avais oublier quand mon réveille à sonner ce matin. Mais vous, vous avez dormis jusque tard.

– On as qu'un seul week-end par semaine jeune homme, on se repose.

– Je dit ça, d'habitude je dors jusqu'à 12-13h. Vous faites ce que vous voulez. Bon, je crois que je vais y aller.

– Tu compte faire quoi toute la journée dehors ?

– Je vais en ville retrouver des amis et ensuite je prend le train jusqu'à Lyon. Je rentrerais tard, peu être même pas du tout alors bye.

– Et tu passe la nuit où ?

– Chez Jonathan.

– Comme par hasard. On s'en doutait ne t'en fait pas. Mais tu ne prend pas de sac ?

– Non, ça ira t'en fait pas : il doit me rester des affaires de cet été chez lui et au pire on fait presque la même taille. Allez, je file.

– C'est ça, passe un bon week-end Mike.

– Vous aussi, à dimanche. »

Je sort avec mon sac sur l'épaule et mon téléphone à la main. Je me demande quand est le prochain bus, je vais aller l'attendre à l'arrêt. Dehors il ne fait franchement pas chaud mais heureusement je n'attends pas trop longtemps puisque le bus de 10h15 arrive quelques minutes plus tard.

Lorsque il me dépose à la gare routière je fonce vers le skate-parc, Thomas nous as dit où il avait planquer son deuxième ballon et donc je vais pouvoir travaillé mes tires à trois points. Mais avant je veut juste passé par le labyrinthe végétal, rien qu'une fois, pour voir le dôme de lierre. Jonathan me manque, j'aimerais être chez lui en ce moment plutôt qu'ici dans le froid. Les premières feuilles ont commencé à tombé, ça me fout le cafard. Je frictionne mes bras, il fait de plus en plus froid, j'aurais dût prendre une écharpe.

Quand j'arrive le terrain est parfaitement désert, tant mieux au fond, et puis c'est normale un samedi matin. Je cherche des yeux l'arbre dont à parler mon aîné et quand je le vois je remarque que en effet, en sautant haut, on peu atteindre la première branche qui est assez épaisse. C'est une super planque ! Seul une bonne détente peut atteindre la cache comme ça ! Je fait une première tentative, arc mes jambes et saute le plus haut possible, mes doigts ripent sur l'écorce et je retombe lourdement au sol. J'avais oublié que j'étais le plus petit de la bande, évidemment. Je retente ! Je plis les jambes et pousse de toute mes forces, j'attrape de justesse la branche et me hisse dessus. Le ballon est coincé dans la fourche juste au dessus, je souris assez fière de moi : j'ai réussi à sauté aussi assez aussi haut qu'un mec d' 1m94. C'est classe, surtout du haut de mon petit mètre soixante-dix. Je redescends avec la balle sans problème, par contre je ne sais pas comment je vais faire pour la remettre en place du coup, je n'arriverais jamais à monter à la branche d'une seule mains. Et voilà, je me retrouve comme un idiot. Si a cause de moi on as plus de balle toute l'équipe va m'en vouloir. Tant pis, je trouverais une solution plus tard.

Snake DaddyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant