Chapitre 2, Part 2

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Je sort en courant de l'infirmerie et fonce jusqu'au portail juste à temps pour sauté dans la navette. Je lirais le dépliant une fois à la maison. Je le range dans mon sac est met la musique. De toute façon ma décision est déjà à moitié prise : je vais faire le cobaye. C'est trop bien payé pour dire non. J'avoue que ça me fait peur de faire des tests cliniques mais si ils les font c'est justement que le risque est minime, que tous les tests précédent sont des réussites. Et puis faire progresser la science, entrer dans l'histoire, ça à l'air génial.

Avec toute ces affaires j'ai à peine eu le temps de pensé à Jonathan. Pourtant il me manque. Et d'un autre côté il a ignorer tout mes messages, ça veut sûrement dire qu'il ne veut plus avoir affaire à moi. Je me laisse tomber dans le canapé une fois arrivé à la maison ... Pas de SMS ... Pas un appel ...

« - Tu es rentré ? Pourquoi tu fais cette tête Mike ?

– Bonsoir maman ...

– Il s'est passé quelque chose aujourd'hui ?

– Je me suis disputer avec Jonathan ce midi, et il n'en a rien à faire : j'ai même pas reçus un texto. Il a pas essayer de m'appeler ...

– Peut être qu'il attend que tu fasse le premier pas.

– Je lui ai envoyé plein de messages moi ... Mais j'ai même pas réussis à l'appeler. Il veut plus me voir, ni entendre parler de moi.

– Je suis sur que c'est faux. »

J'ai mal au cœur, c'est plus fort que moi je me met à pleurer. Il me manque trop, je ne veut pas avoir tout gâcher entre nous !

« - Mike, ce n'est pas la peine de pleurer. Allez, ré-essaie de l'appeler.

– Non ! Ça sert à rien ... »

C'est à ce moment que mon téléphone sonne dans mes mains et que « Amour » s'affiche sur l'écran. Ma mère sourit et pousse un soupir comme quoi les ados de nos jours font des histoires avec n'importe quoi. Je manque de lâcher mon téléphone mais le rattrape avant qu'il ne finisse par terre. A toute vitesse je vais m'enfermer dans ma chambre. Je décroche et tombe sur la voix inquiète de Jonathan, ça me ferait presque pleurer tellement ça fait du bien d'entendre sa voix :

« - Allô ? Mike ?

– Jonathan ...

– Tu pleur ? Pourquoi ? Ne pleurs pas ! Je sais que tu t'en veut pour ce midi, mais ne t'en fait pas je ne t'en veut pas du tout. Je sais que tu n'étais pas dans ton assiette à cause de ta fièvre basse.

– Jonathan ... Pardon.

– Mais pourquoi tu t'excuse ? Oh pleur pas Babe. Arrête.

– Ça veut pas ... J'ai crus que tu allais cassé ... Que tu ne voulais plus de moi ...

– Mais qu'est-ce-que tu raconte ? Je t'aime Mike.

– Tu m'as ignorer toute la journée ... tu répondais pas ... t'as ignorer mes SMS ... Tu répondais pas ... Et cet après-midi tu n'es pas venu au casier ...

– J'ai été retenus par un professeur au sujet de mon orientation et mon téléphone n'avais plus de batterie : je vient seulement de le rallumer après l'avoir brancher. Me dit pas que t'as crut que j'allais cassé à cause de ça ?

– Si ...

– Mike, t'es beaucoup trop in-confiant. T'es bête des fois.

Snake DaddyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant