Chapitre 7, part 1

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Cours vers lui, il m'a manquer, je veut l'embrasser. Mais au moment où j'allais lui sauté dans les bras il m'a repoussé. Je ne comprends pas ... Il ne veut pas me voir ? Alors pourquoi il est venus jusqu'à la gare ? Avec sa mère ?

« - Tu étais où Mike ?

- Je te l'ai dit, à une conférence des reptiles.

- Menteur. Pourquoi tes parents n'y étaient pas alors ? Et pourquoi n'en ont ils jamais entendus parler ? Pourquoi tu leur à dit que tu avais un entretient d'embauche ? Que c'était pour ton travaille ? Tu nous as mentis à tous les trois ! T'était où ?!

- A Lyon. Je vous ait pas mentit, j'étais vraiment là bas pour gagner de l'argent, et il y avait vraiment d'autres thérianthropes.

- Ça j'ai sentis, merci. Qui est le connard qui t'as touché !?

- Personne ! Personne ne m'a touché !

- Tu empeste le canidé ! Te fout pas de ma gueule Mike ! Monte ! On va en reparler ! »

Sans que j'ai eut le temps de réagir il a ouvert la portière arrière, m'a tiré par le poignet et m'a jeter sur la banquette avant de claquer la porte. Instinctivement j'essaie d'ouvrir, pour m'enfuir, mais la sécurité enfant est enclenché ! Je suis mort de trouille, je ne l'ai jamais vus comme ça. Il me terrifie.

« - Je veut rentrer chez moi Jonathan, s'il te plaît ... laisse moi sortir.

- SUREMENT PAS !

- Jonathan tu me fait peur ... laisse moi partir je t'en supplie ... J'ai peur.

- J'en ai rien à foutre ! »

Sa mère démarre et nous ignore royalement. Lui se retourne vers moi, il a le regard noir, j'ai l'impression qu'il veut m'étriper. J'attache vite fais ma ceinture et me recule le plus possible c'est à dire pas très loin. Je suis toujours à porté et il ne me quitte pas des yeux, autant dire que tout mes instincts sont dans le rouge. Je sent que s'il approche sa main je vais le mordre ... j'ai trop peur.

« - Putain ! Mike ! MERDE ! »

J'ai les larmes aux yeux, maintenant mes nerfs vont lâché, géniale. Je sent ma taille rétrécir un peu, ma transformation s'est engagé sans que je n'ai contrôlé quoi que ce soit. Tout mon corps me hurle de fuir et ce qui devait arrivé arriva : je font en larme pour de bon et me recroqueville contre la vitre en pleurant.

« - Tu me fais peur ... arrête ... je t'en supplie ... tu me fait peur ... »

Il soupire et son regard se fait un peu plus doux. J'entends « Maman, arrête toi s'il te plaît » la voiture qui ralentit, une porte qui claque. Je ferme les yeux de toute mes forces et me fait tout petit, il va me cassé la gueule, je vais me pissé dessus tellement j'ai la trouille. Une autre porte s'ouvre, tout mon corps se contracte et je place instinctivement mes bras devant mon visage. J'entends la porte se refermer, la voiture redémarre, je me met à trembler. J'en ait mare, j'étais pas aussi faible quand j'étais petit, mais c'est plus fort que moi : j'ai la trouille. Je suis sûr qu'il va me frapper, je veux pas avoir mal. Je lâche un petit « pitié » d'une toute petite voix aiguë et étranglé.

« - Mike ... »

Je sent le dos de sa main doucement caressé ma joue mais je ne plus m'arrêter de trembler. Et puis j'ai peur que ce ne soit qu'une ruse pour que je baisse ma garde et qu'il puisse m'envoyer un coup au visage.

Pourtant son touché reste doux, il caresse lentement ma joue, puis mes cheveux avec sa paume. Petit à petit mes tremblement cesse, je veut qu'il me rassure et en même temps qu'il aille loin. J'ai besoin des bras parce de Jonathan que j'ai peur de lui, je suis coincé.

Snake DaddyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant