Snake Daddy

Chapitre 30, part 2

Arrivé en bas de l'immeuble j'ai été m'installer dans un hôtel pas loin,juste une nuit. J'ai encore pleurer plusieurs heures avant de finalement sécher mes larmes avec détermination : Jonathan avait raison sur au moins un point, un enfant ne peut pas élevé un autre enfant. Et c'est pour ça que je ne serais plus un gosse. Je vais devenir fort ! Si fort et solide que rien ne pourra m'atteindre. La deuxième chose qu'il disait, comme quoi on ne peut étudier et avoir un bébé, je vais lui donner tord ! Tellement tord qu'il s'en mordra les doigts ! Je renifle encore. C'est décidé je réussirais tous mes partielles et j'aurais le diplôme de professeur. Mieux ! Je serais major de promotions ! Je serais irréprochable en cour en plus d'être un bon père pour le bébé ! Je deviendrais professeur et je lui donnerais le meilleurs. Avant que tout cela n'arrive, et bien, il faudra se serré la ceinture tous les deux. J'en ai parfaitement conscience. Mais ça ira, j'ai l'aide financière du projet et puis je sais très bien –expérience personnelle oblige- qu'on peut vivre sans beaucoup d'argent avec juste de la débrouille. Ça tombe bien, là débrouille ça j'ai appris avec mes parents. Eux ne m'ont jamais couvé :il m'ont appris à être indépendant et je vais faire fructifier leur enseignement. Je n'oublierais pas non plus ce que m'a appris la famille White, et puisque ils risquent de s'inquiété je donnerais des nouvelles à l'Alpha. Plus précisément à madame White, me corrigeais-je moi même. Bientôt ce sera Jonathan l'Alpha ... sans moi ... Où alors ce sera Devon ... Que va-t-il leur arrivé ?Non ! Il ne faut pas que je pense à ça ! Ils s'en sont toujours sorti sans moi. Je dois pensé à l'enfant à naître. Lui n'aura que moi, il aura besoin de toute mon attention. Tout ce que je ferais désormais ce sera pour lui, rien que pour lui. Oui. C'est le mieux à faire. Mais je en pourrais pas rester dans un hôtel toute ma vie. L'idéal sera d'aller dans une fraternité à l'université,où au moins dans des chambres. Mon université à des chambres réservé aux thérianthropes -officieusement bien sûr-, j'irais demander là bas en espérant qu'il ne soit pas trop tard pour se faire hébergée. Sinon ... Et bien sinon j'aviserais. Je m'allonge sur le lit de ma chambre ... Il est trop grand. Ma main passe doucement sur mes abdominaux qui transparaissent.

« -J'ai du mal à croire que tu soit là. Tellement discret ... Il n'empêche que je t'en doit une pour m'avoir évité les grosses nausées. Même si j'ai été malade ça a été. Je crois qu'entre nous le pire est passé ... T'as foutu un sacré bazars dans ma vie petit père. Mais ça ira. Ça ira ... Plus j'y pense et plus je trouve que tu es un petit miracle, mon petit miracle : tu ne sais pas à quel point c'est rare un bébé serpent-tigre. C'est un fardeau lourd à porter dont tu hérite là ... Je t'aiderais. Je suis passé par l'un des pires chemins, je te montrerais comment l'évité. J'aurais préféré que tu tienne de ton autre papa, ça t' aurais évité des problèmes ... Mais si je venais à ne plus jamais le revoir -ce qui est probable- ce sera sans doute moins douloureux pour nous deux que tu tienne de moi. Tu as vraiment choisi de démarrer avec des handicapes -touchons du bois- dans la vie toi. Bon ! Ton papa va faire de son mieux, pour le reste on verra bien ce que l'avenir nous réserve à tous les deux. »

De ma valise je sort le manuel de thérianthropie au chapitre de la reproduction ( gênant ).

Le déterminisme de la descendance d'un couple hétéro-thérianthrope,homo-thérianthrope, ou mixtes non transformiste / thérianthropes :

Le déterminisme de la descendance d'un couple thérianthrope se révèle bien plus complexe que celui de la descendance de non transformistes où seul le sexe est un facteur changeant standards dans le développement du fœtus ( ne sont pas prix en compte comme facteurs de différence tel les mutations génétiques héréditaires ou spontanées apparut au court de la fécondation et/ou du développement, les tares ou encore les malformations ).