Snake Daddy

Chapitre 31, part 3

Quand je suis revenu, il était parti. Il avait tout emporter avec lui,toutes ses affaires jusqu'au plus petit objet. Il ne restait rien dans la maison que son vivarium qu'on avait pas emmener à la colocation. Juste ça ... Soudain j'ai eu peur: ma vie me semblait vide et sèche. Terriblement aride ! J'ai commencer à paniquer, j'ai demander à ma mère. Elle avait l'air posé et ... désolé. Je n'aime pas ça, je n'ai jamais aimé ça. Elle m'a dit que Mike était parti, retourné à Lyon, qu'elle n'avait pas tout compris mais que je devais le rattraper. Je comptais bien le faire ! Mais avant j'ai sauté sur mon téléphone pour l'appeler, je ne voulais pas qu'il se fasse du mal. Je suis tombé immédiatement sur son répondeur, il avait éteint son portable.

«Tut. Mike ? C'est Jonathan. Quand je suis revenue maman m'a dit que tu était parti en précipitation. Tu va bien ? Je crois qu'on s'est mal compris. On pourrais parler ? »

Bon,respire. J'ai expliqué à ma mère que je devais le rattraper, que je m'étais mal exprimer, que je n'avais pas fait les bons choix. Alors j'ai refais ma valise et à la gare j'ai chercher le prochain train.J'ai pester un moment aussi : j'avais louper le sein de peu, même pas 45 minutes et je l'aurais retenu sur le quais. Au bords de la crise de nerf, me forçant à être calme, je l'ai rappeler, et rappeler encore.

«Tut. Mike, pourquoi tu réponds pas à mes appelles ? Je m'inquiète pour toi. T'es vraiment retourner à Lyon ? J'espère que le train est bien arrivé, je vient te rejoindre par le prochain. Jet'attendrais à la copropriété, rentre vite. Je m'inquiète. »

Mais à la copropriété ses affaires n'étaient plus là non plus.Tiphaine et Yannick m'ont dit qu'il était parti ailleurs. J'ai péter un câble: je suis sorti sous ma forme profonde et je l'ai chercher à l'odeur dans tous le quartier en courant à toute vitesse. Essoufflé je suis passé au quartier suivant. Au total j'ai couru pendant 2 heures à m'en détruire les coussinet, la peur au ventre, la panique en tête. J'étais en colère, dans une colère noir, mais pas contre lui, contre moi même. Je n'aurais jamais dut lui dire les choses comme ça ! Tout étais de ma faute et maintenant Mike était dehors,enceint, fragile, sans rien pour le protéger. Il allait mourir de froid ! J'en mourrais si Mike attrapais une hypothermie par ma faute!

«Tut. Mike ! Tu es où ?! Mike ! Réponds à mes messages putain !Pourquoi tu es parti de la coloc' ?! T'es où bon sans de merde !?Purée ! Je t'ai chercher partout ! Où est tu !? J'ai peur pour toi! Mike !Répond ! Bon sang ... Merde ! Fait chier ! Je te retrouverais ! »

Je suis retourner à la coloc' dans l'idée d'appeler la police pour disparition mais à la place je suis tombé sur sa lettre. Mon cœur se serre rien qu'à ce souvenir. Je me souvient très bien des petites traces mouillé sur la papier : ce n'étais pas que mes larmes, c'étaient aussi et surtout les siennes. Je ... Je voulais vraiment me faire frapper pour ça. Je l'avais fait pleurer. Je l'avais bien chercher s'il ne voulait pas de moi. Qui voudrais d'un compagnon incapable ? Il me disais qu'il m'aimais au passé ... Il me disais des choses que j'aurais toujours voulu entendre, je ne demandais que ça. Mon âme de thérianthrope hurlais de joie, le canidé en moi aboyait de toutes ses forces : il était un mâle accomplis, compagnon et future père d'une merveilleuse descendance mais ... Moi je me souvenait du mal qu'il s'était fait en entrant au projet Amios Alpha, du mal qu'il allait se faire. Il s'était toujours dénigrer, il avait toujours refusé de s'aimé tel qu'il l'était mais moi je l'avais aimé pour deux. Enfin je croyais. Et puis surtout j'avais vu une part de lui qui me faisait peur : il ne voyais le mal nul part, il se croyais toujours en tords, il pensais que les problèmes venait de lui alors qu'il venait de la vie.Aujourd'hui encore il allait faire le mauvais choix car il ne voyais pas le danger, et ensuite il allais se haïr un peu plus. A cette idée j'en avait le cœur déchiré.