Chapitre 31, part 2

1.6K 149 7
                                    

Je suis Jonathan White, et je vais revenir sur les brusques changements qui sont survenus dans ma vie récemment. Je suis le fil aîné d'une famille toute récente, j'ai une jumelle de quelques heures ma cadette plus petite mais pas moins pénible nommé Manon, et pour finir j'avais un petit ami formidable nommé Mike Taylor que j'espérait voir un jour porter mon nom. Je m'étais dit ça ,quelques temps après nous être mis ensemble : Mike Taylor-White, ça rendrais tellement bien.

Comment le décrire ?Il est adorable, un gueule d'ange, un corps athlétique mais pas musclé, des épais cheveux blond et une peau de pêche rosé. Un régale pour les yeux quoi. Mais ce que j'aime le plus chez lui c'est son caractère : quand je l'ai rencontré il était fainéant encours sauf en français et en Anglais, il avait beau avoir énormément de succès il ne laissait pas grand monde être proche de lui. Il mettait toujours cette distance entre lui et les autres, au début je l'ai trouvé carrément snob. Je l'ai détesté pour son côté « je joue les intouchables » et puis on nous as mit côte à côte en Anglais. Là j'ai rencontré le vrai Mike, celui qu'il ne montrait jamais au autres, celui qui dessine des bonhomme bâton sur son cahier d'anglais, mais pas juste des pendu, des types qui récitent Hamlet. Ça doit être le seul type que je connaisse à avoir couvert ses marches de lignes et de lignes de poèmes. Quand j'ai découvert ça j'étais scié, alors je l'ai regarder plus intensément qu'avant et j'ai vu des choses qui m'étais passer inaperçus : des petites cicatrices sur la face extérieur de ses avant bras ( j'ai découvert plus tard qu'elles étaient là par ce qu'il se faisait battre plus jeune et qu'il se protégeais comme il pouvait ), un regards très profond et brillant d'intelligence, une culture insoupçonné, une solitude ... Même avec les garçon hyper populaire avec lesquels il traînait il était en retrait. Il n'entrait dans aucune case, aucun groupe. Je me suis demander pourquoi ? Est ce que ça avait un lien avec cette fragilité qu'il cachait chez lui ? Qui était il vraiment ? Alors on a bavarder, beaucoup bavarder, on est devenu amis, il a commencé à se confier, vraiment un tout petit peu. Je n'avais pas toute sa confiance, je ne l'ai jamais pleinement eu, Mike était trop méfiant. Mais je crois, pendant au moins un temps, l'avoir eu presque complètement après nous être mis en couple.

Je suis tombé amoureux, très amoureux, de la profondeur de son personnage. Si on peut parler de personnage. Je ne voulais plus qu'il se cache derrière une carapace, je voulais qu'il se montre tel qu'il était réellement même si c'étais profondément enfouis en lui, quitte à être son bouclier. Je voulais être sa défense contre le monde. Je le voulais lui, sa fragilité, son sourire. Le fait qu'il était lui aussi transformiste n'est jamais entré enligne de compte, ou alors un tout petit peu. J'ai découvert sa détermination, son côté crédule, tout ça d'un coup quand il m'a révélé ses plans. On en connait jamais pleinement quelqu'un, je m'en suis rendu compte, mais je m'en fichais, je ne l'aimais que davantage. Seulement alors que tout était sous contrôle ça a déraper il y a un mois de ça. Quand je dis déraper c'est pas la petite glissade : tout est parti en couille à une vitesse incroyable. Les éléments qui nous avait éloigné était suffisamment loin pour que nous soyons de nouveau très proche, plus proche peu être que nous ne l'avions jamais été. Nous étions si complice ... Et puis d'un coup il a remis une distance considérable entre nous et malgré mes efforts il s'éloignait. J'ai compris que plus je forçais plus il mettait de distance entre nous alors j'ai voulu essayer « Suis moi je te fuis, fuis moi je te suis »... C'était pire, je l'ai compris quand il s'est mis à pleurer à mainte reprises : il s'était trop ouvert pour refermé complètement sa carapace, il avait l'impression d'être exposé, je me devais d'être là, de rester à distance pour ne pas le brusquer mais de quand même le protéger. A partir de la les choses sont devenu ingérable. Était-ce de ma faute ? Je n'ai pas su jaugé la distance je pense. J'en ai mit trop, ou pas assez, je l'ignore mais en tout cas ça n'allait pas du tout. J'étais tourmenter par ça, vouloir faire de mon mieux pour lui mais ne pas y arrivé c'était de la torture.

Snake DaddyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant