Snake Daddy

Chapitre 10, part 2

Dehors une voiture familiale m'attends : la mère de Jonathan est venume récupéré pour que je passe l'après-midi chez son elle. Je me jette côté passager dans l'espoir d'avoir un bisous de Jon' mais il n'est pas là. Alors dans un soupir je m'assois à sa place.

« -Bonjour Mike.

Bonjour madame White.

Attache bien ta ceinture.

Mmmh-hmm. Comment va Jo' ? Il a pas trop répondu au téléphone.

Il a presque dormis toute la journée mais depuis quelques heure il a de l'énergie donc ça va.

Cool, je suis pas tranquille quand il est malade.

C'est un costaud t'en fait pas. Et toi ? Ça va ?

Oui. Euuuum ... madame ... j'ai une question, c'est au sujet de Jonathan et moi.

Va y.

Vous diriez quoi si on voulait vivre ensemble après le lycée ?

Je préfère ça à vous savoir tout le temps sur la route pour vous voir. Ou encore chez des inconnus louche.

Et si ... hum ... On avait des projets d'avenirs tout les deux ?

Quels genres de projets ? Un voyage ? Vous savez que je serais toujours pour tant que vous ne vous faites pas de mal.

Par projet d'avenir j'entendais ... mariage ... ( je murmure ) ... enfants ?

Quoi ?! T'es pas un peu jeune pour pensé au mariage toi ? A vous les ados vous voulez tout faire trop vite. Prenez le temps. Mais la question c'est est-ce-que je serais d'accord ? Bien sur que je serais d'accord. Mais pas tout de suite hein. Ha ha ! Vous êtes trop petit, Jonathan c'est encore mon chiot.

En parlant de chiots ... Hum ... Vous ... L'adoption pour tous ... ?

Houlà ! Toi tu as déjà réfléchis à beaucoup de choses. Je ne sais pas ce que vous vous dites sur le lit d'amour ( je me ratatine, écarlate dans le siège ) mais je crois que vous êtes trop presser de grandir tout les deux.

On sera majeur dans deux ans quand même.

Et mature dans 20, allez vous avez le temps.

Mais ce serais un oui ?

Quand ça arrivera je doute que vous viendrez me consulter avant. Vous serez majeur, marié, vous aurez votre travail et votre maison. Je n'aurais plus mon mot à dire dans tout ça. Allez Mike, arrête de te triturer l'esprit. Dit moi plutôt comment tu sent le bac de français ?

Ça va, je m'en sort. Pour le bac de science je pense que j'aurais pas mal de points d'avance grâce à l'aide de Jonathan !

Et bah c'est bien. Et tes parents ? Ça va ?

Oui, on s'en sort.

Jonathan m'avais dit que tu avait un problème avec l'université et son prix, quelque chose comme ça.

Ah non, ça c'est régler.

Si tu as besoin d'aide financière je peut t'aider. Je sais que ça ferais plaisir à Jonathan de toute façon.

Merci madame White mais pas besoin. On as trouver une solution.

Ah oui ? Tant mieux. Tu es boursier ?

Euh ... ouais ... C'est à peut prêt ça.

Et bien on est arrivé. »

Je ne me fait pas prier pour descendre en trombe de la voiture. Devinez qui m'attends sur le perron de sa maison. Je le jette dans ses bras ouvert et l'embrasse à pleine bouche, le rose aux joues. Il me traîne à l'intérieur alors que nos lèvres se touchent, se quittent et se retrouvent sans discontinuer. Un jour sans le voir c'est déjà trop. Je me jette en arrière et l'entraîne dans ma chute sur leur canapé. Je suis sur que si quelqu'un passais il verrai juste mes jambe croisé sur ses rein avec comme fond sonore les gémissements d'aise que je lâche sans arriver à les retenir.Il s'éloigne enfin en cherchant un peu d'air :