Chapitre 25, part 1

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Bureau de presse de la revue nationale thérianthropique, Paris, 3h59.

Impression automatique dans une minute ...

Bip.

Les grands rouages de la machine automatique se mirent en route et avec elle celle des autres lieu d'impression de la revue nationale de thérianthropie Française. La puissante machine imprimais à répétitions les nouvelles locales et mondiale du mois pour un de ces énormes magazine où tous les sujets se touchent de la mode au sport en passant par l'économie, la politique et les innovations technique et technologiques. Le bruit monstre des machines traçait sans fin sur les rouleaux de papier glacé les pages du numéro de mai qui serais ce matin du 30 avril devant toutes les maisons des abonnés. Une seule chose changerais avec le numéro de ce mois ci,une chose qui ferais décoller les ventes à coup sur : la une était scientifique. Pas la chose barbante qui fait que personne n'a envie de se pencher dessus, non. Le scoop de l'année. La nouvelle porteuse de honte ou d'espoir était en page 7 du numéros de mai :

« La fertilité et les lois naturelles remisent en question : des scientifiques américain annonce la commercialisation d'un nouveau procédé. Qu'est-ce-que la folie Androgynus ? »




J'ouvre les yeux dans mon bocal, depuis mon recoin sombre sous les cailloux.Mon terrarium sera ma chambre pendant encore un mois sur ordre de madame White. Heureusement j'ai passé le plus dur : une semaine sans le toucher autrement que pour quelque chose de platonique et obligatoire. Ce fut une vrai torture, à la fin le simple fait de l'effleurer m'étais insupportable car des frisson de je ne sais quoi remontaient. Le manque de lui, de sa présence, le simple fait de le croiser dans les couloirs était une souffrance car l'interdiction planait toujours et que mon odeur devait avoir complètement disparut de lui et inverse la sienne de moi pendant toute cette semaine. Une simple étreinte, cette semaine là j'aurai tuer pour une simple baisé sur la joue. La sentence de l'Alpha a été terriblement sévère envers nous, je m'en suis rendu compte après coup. Ça a été bien plus terrible et ça le sera encore pendant un mois et demi.J'aurai préférer être mordu d'un bon coup de crocs et humilié. Ça aurai été moins douloureux. Heureusement la première punition à été levé et nos retrouvailles ont été une délivrance. Je me souviens encore quand Jonathan s'est jeté sur moi et m'a serré à l'étouffement, il a frotter sa tête contre mon torse pour y déposé son odeur comme un furieux avant de m'embrasser pendant au moins trente minutes et puis nos retrouvailles se sont finit au lit où j'ai encore une fois béni cet endroit en moi qui me fait perdre la tête. Il va falloir tenir jusqu'aux vacances d'été, ensuite tout ira bien.

Je m'étire et gagne la cuisine en pyjama pour prendre un rapide petit déjeuner sur le pouce. Jonathan lui a le nez dans sa tasse. Quand il me donne un baisé de bonjours ses lèvres ont le goût alléchant du chocolat chaud bien fort. Je me lèche les lèvres pour en apprécier les dernières trace avant d'avaler mon jus de fruit, quelques tartines et de filer à la douche. Je m'habille vite fait bien fait avec quelque chose de relativement léger : toute la neige à fondu depuis très longtemps et les redoux se font de plus en plus fréquents. Après quoi je chope mon sac et part pour l'école, comme d'hab j'ai trop manger et j'ai mal au ventre mais sinon c'est une bonne mâtiné. Jonathan peste parce que l'équipe de basket à été disqualifié des tournois mais du coup il pourra mieux se concentré sur son bac. Déjà qu'on a tous les deux frôler la bulle avec nos TPE ce serais la catastrophe qu'on loupe nos épreuves anticipé.Devant la grille les regards des gens ne sont plus aussi intense qu'avant : depuis des mois qu'on vient toujours tous les et qu'on se comporte comme un couple normale ils s'y sont plus ou moins habitué. Certes nous ne sommes pas hétéro mais on ne se cachent plus, on ne s'exhibe pas non plus alors bizarrement c'est devenus quelque chose de banale de nous voir nous tenir la main et les gens ne s'en offusque pas. Ma théorie c'est qu'en établissant dès le début que nous n'étions ni des victimes ni des pervers on a finit par se faire respecté. On est un couple du paysage, c'est tout. Oh bien sur il y a toujours ces crétins qui ricanent mais même eux on cesser les insultes ouvertes après que j'ai convaincu Jonathan de les ignoré complètement pendant un long moment. Si il avait continuer de répondre dans l'idée de me défendre on ne s'en serais jamais sorti. 

Snake DaddyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant