Chapitre 35, part 1

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Ce soir la Jonathan et moi nous nous sommes bien plus rapprocher qu'en toutes les semaines passé, je crois que nous avons retrouver un certain équilibre quelque part. Mon je t'aime, comme je voulais que ça se passe, était venu tout seul, comme une évidence. Et même si ça avait tarder j'aime mieux que ce soit comme ça. Dans l'intimité de la chambre que nous partagions au lycée, notre chambre, on s'est embrassé, câliné. On s'es retrouvé plus seulement sentimentalement mais aussi physiquement. Il ne m'avait pas toucher, presque pas, à peine embrassé alors ravoir sa main sur ma peau ça me faisait quelque chose. J'avais retrouvé mon amant, l'homme de ma vie. Ce soir là je lui ait souffler à l'oreille je ne sais plus quelle phrase salace idiote pour lui raconter ma libido infernale, mes séances de loup solitaire, le manque de lui, le besoin de lui,l'envie de lui. Avec le bébé il avait peur de me faire mal. Il n'avait pas intérêt à y aller comme un bourrin après un moment d'abstinence sinon c'est moi qui me démontait ! Mais ça a été.C'était génial, très doux, plein d'amour, tout en tendresse et en caresses langoureuses. Il a fait attention a moi, à comment je me sentait, il m'a fait passer avant son propre plaisir et j'ai adorer ça, ça m'a fait vraiment plaisir de voir que je comptais à ce point à ses yeux, que je lui avait manqué autant qu'il m'avait manqué et ... je m'en suis voulu de lui avoir fait du mal. Tellement voulu que j'ai fondu en larme. Evidemment il a paniqué et s'est arrêter, il m'a demander si j'avais mal, tout un tas de choses stupides et insensées. Alors que je lui disais ce qui n'allais pas ils'est mit à me couvrir de baisé en disant que je n'étais pas coupable, qu'on étaient deux indécis et deux idiot, que c'était notre faute à tous les deux et surtout la sienne parce qu'il m'avait quelque part forcé à partir en agissant ainsi. Non ! Je lui ait dit que si je n'étais pas fautif il ne l'était pas non plus. Au fond personne ne l'étais. C'était un malentendu. On avait juste besoin de ce break. Rien n'arrive par hasard dans ce monde, tout à un sens mais on ne comprend pas toujours. C'est ce que je croit. En entendant ça il m'a rit au nez en disant que pour le hasard il préférait « concourt de circonstance » et que le destin, s'il n'y croyais pas il aimait bien la vie qu'il menait soit disant grâce à lui. On as tous les deux sourit, on s'es embrassé et on a finit notre nuit de passion.



Noël est aujourd'hui, le repas commencera dans quelques heures alors Devon ne devrait plus tardé. On sonne à la porte alors que Manon,Jonathan et moi parlons allongé sur le canapé, avachis.

« -Vous avez entendus ?
- C'est lui ! Je vais ouvrir ! »

Jonathan peste en voyant sa sœur sautillé dans sa belle jupe noir à paillette jusqu'à la porte. Manon est belle, bien plus belle que lui quand on est objectif -je ne suis PAS objectif- c'est une jeune fille magnifique à la longue chevelure brune épaisse et délicatement ondulé. Dans sa tenue de fête elle est bien plus attirante que les pain-bêches sur-maquillé qu'on voit partout, vraiment. Je comprends que mon compagnon grogne en la voyant avec un mec qui se la joue voyou alors qu'elle est si élégante mais bon, elle fait ce qu'elle veut. Je m'étonne moi même d'être si conciliant alors que dans d'autre condition j'aurais sauté au plafond vu que je déteste ce type. C'est surement le bébé -j'en vient souvent à cette conclusion- qui me pousse a évité les conflit, le fait d'être super zen et super bien calé comme ça dans les bras de mon homme doit y être aussi pour quelque chose. Je relève la tête et quémande un baisé en espérant que ça le détournera de l'autre mâle stupide et qu'il s'occupera de nouveau attentivement de mon ventre. Oui, je suis jaloux.Je veut que moi et le bébé soyons le centre de son monde 24h/24 maintenant. Il m'embrasse en râlant et me demande de me levé.

« -Pousse toi Mike.
- Oh laisse les. J'ai envie de rester là.
-Je vais dire bonjour.
- Et marqué le territoire parce que je suis un mâle bougon, me moquais- je d'une voix ridicule.
-Mike !
- Je suis Jonathan White, ne vous approchez pas d'ici. A moi ! Continuais- je.
- Arrête ça ou je m'en vais.
- Tu le faisais déjà. Je me trompe ?
-Pousse toi.
- Oui oui. Ce que tu peut être tendu. »

Snake DaddyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant