Snake Daddy

Chapitre 8, part 2

J'ouvre les yeux ... Jonathan n'est plus là. Je lève, qu'est-ce-que je me sent lourd. Je descend les escalier et tombe sur sa mère :

« -Bonjour.

Bonjour Mike. Bien dormis ?

Oui et vous ?

Tu sais, c'est pas grave, ne t'inquiète pas pour moi, le plus important c'est que tu te repose. Après tout avec la date qui approche tu dois être en forme. Laisse moi m'occuper de tout ça.

De quoi parlez vous ? La date de quoi ? Vous occupez de quoi ? »

Avant qu'elle n'ai eut le temps de répondre une ribambelle de bruit de pas cavalcadent dans la maison. Un jeune chiot et un petit garçon d'environs 7 ans se jettent sur moi en criant « PAPAAAAAAA !! »Le petit garçon se retrouve dans mes bras, coller contre moi tendis que le chiot me fait la fête et n'arrête pas de se transformer en une petite fille de 2 ans à tout bout de champs. Je commence à paniquer, je comprend pas ce qu'il se passe ! Jonathan apparaît avec un tablier :

« -Les enfants ! Laissez papa tranquille vous allez lui faire mal.Venez déjeuner plutôt.

Jonathan ? C'est qui c'est gosses ?

Je ... Mike ? Je comprends que tu soit perturber avec la grossesse mais là ... Ne pas reconnaître ton fil et ta fille ... Tu es sur que ça va ? Je savais qu'un troisième c'était pas une bonne idée, tu supporte mal le manque de sommeil.

Une grossesse ? Mais de quoi tu parle ? »

Ils 'approche de moi et pose ses mains sur mon ventre dont je réalise enfin à quel point il est gonflé. Soudain une forme de pied apparaît sur la surface de ma peau comme un bas relief et j'ai une nausée :

« -Il est réveillé non ? Bonjours mon bébé, il caresse l'endroit où a disparut le pied. Tu va bien Mike ? Tu as l'air perdu ? Tu es sur que ça va ?

On est parents ? De deux enfants ?

Bientôt trois, tu va arrivé à terme dans deux semaines, on peut considérer que c'est fait maintenant. N'ai pas peur, tout va bien se passer comme avec les deux autres.

Je ... Tu ...

Va te recoucher, tu aura besoins de force. Maman et moi on s'occupe des petits. »

Il m'embrasse, je ferme les yeux et quand je les rouvre il est penché au dessus de moi. Je suis allongé dans son lit, ce sentiment de bonheur immense et d'euphorie qui grouille toujours dans mes veines. C'était un rêve qui paraissait tellement réelle ...J'attrape vivement son cou et le dévore de mes lèvres. Avec toute ces émotions positives qui déborde des suites de mon rêve j'ai furieusement envie de faire l'amour. C'est officiel, ce rêve, ou plutôt cette vision ( je veut que ce soit une vision, ça doit être une vision ) m'a convaincu : je veut un bébé. Je veut un bébé de Jonathan ! Je veut vivre le bonheur dont j'ai goûter une partie dans mon rêve pendant les neufs mois, puis les années à venir. Je veut voir la fierté dans les yeux de mon amant comme dans mon songe, je veut voir une bande de petit berger Australien courir partout en m'appelant papa. Je veut connaître le bonheur ultime de mon rêve, cette sensation si forte qu'a mon réveille elle débordait encore. Jonathan éloigne ses lèvres :

« -Et bah, t'es un chaud lapin dès le matin toi ?

Ça se voit tant que ça ?

Tu va bien ? Depuis le début de notre couple t'a jamais autant eu envie de sexe.

Peut être parce qu'au début ça fait mal et que maintenant j'y prend du plaisir ? Et puis surtout je veut rentabilisé la gaule du matin.

T'es con, vient plutôt déjeuné. »