Loving madness [HarleyXJoker]{fiction+Os}

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Je charge le fourgon et me mets place conducteur. Le sourire aux lèvres, j'allume le contact. Je sors de l'entre du pingouin pour me diriger vers Gotham. Les fards des voitures de polices se firent de plus en plus présents au fur et à mesure que l'on atteignait le coeur de la ville. Une fois traversé, je poursuivis ma course pour la forêt sombre. J'alluma la radio qui passait cette fois-ci 'Without me' de Eminem. Soudain, alors que je chantonnait gaiement dans la voiture, on interrompt la musique .

<<-Citoyens de Gotham, une nouvelle de la plus grande importance doit vous être communiquée. Le Joker à été arrêté et est désormais interné à l'asile d'Arkham. L'alerte rouge est donc enlevé, il n'y a plus de danger.

    -Plus pour longtemps, dis-je dans un sourire alors que la musique recommence.>>

Je remarque la silhouette d'Arkham se dessiner dans la nuit sombre. Je lâche alors un instant le volant pour enfiler ma blouse. Lorsque je relève le regard, je ne suis plus très loin d'Arkham. Je prend finalement l'allée des fourgons . Je m'arrête devant la barre d'arrêt. Deux hommes viennent contrôler. Tandis que l'un va voir à l'arrière, l'autre reste à l'avant pour me poser des questions.

<<-Alors, on va a un bal costumé, Dr. Quinzel?

    -Ouais, j'ai prévu. Et, j'ai oublié mes affaires ici, alors je viens les chercher.

    -Par l'entrée, cela aurait été plus facile.

    -Oui, mais moins rapide.

   -Je vois. Je vais juste enregistrer votre badge et vous pourrez entrer.>>

Je me penche et lui tend mon badge. Il le scanne et reçois confirmation.

<<-Bon retour chez nous, docteur.>>

Je lui souris une dernière fois. La barrière se soulève et me laisse passer. J'arrive dans la parking souterrain de l'asile qui se trouve juste à coté des cellules d'isolement pour les cas les plus extrêmes. Je me gare et sors de mon fourgon. Il y a cinq gardes très exactement. C'est le second service qui prendra fin fin à 1h30. Je regarde l'heure sur le tableau de bord et il est 1h21. J'ai donc 9 minutes pour extraire mon lapin de cet enfer avant qu'une nouvelle équipe vienne prendre le relais. Je me dirige discrètement vers un des gardes. Mon sac plastique en bout de bras, j'arriva par derrière. J'enroula le sac autour de sa gorge et le serra fort, souhaitant en finir vite. Je le vis tomber au sol, ses yeux s'injecter de sang, ses lèvres bleuirent, sa bouche chercher les dernières bouffés d'air, ses mains s'agrippant au sachet autour de sa gorge. Et alors qu'il me suppliait du regard, je souriais, j'appréciais ce spectacle, je me délectais de sa souffrance, jusqu'à ce que ses paupières se ferment et qu'il finissent dans l'inconscience. Je me relève, laissant son corps vidé de son air sur ce sol froid, et me dirige vers un autre garde. Je suis juste derrière lui. Je colle mon corps au sien et me hisse sur mes pieds pour atteindre son oreille. Je pose le canon de mon arme sur sa tempe, et je sens son dos se raidir.

<<-Désolé chéri, mais il y a quelqu'un derrière ces murs qui m'attend.>>

J'appuis sur la détente, sans ciller. Je sens la balle s'extraire du canon et se loger dans son crâne. Son sang gicle et quelques gouttes retombent sur mon visage. Son corps me tombent dessus et je recule pour le laisser s'écraser lourdement sur le sol. Son arme claque sur l'asphalte , tout comme son crâne, juste à mes pieds. Mais mon tire à alerté les trois autres gardes. Je me cache derrière un des piliers du parking. J'entend les gardes s'approcher au pas de course.

<<-Merde. Il est mort.>>

C'est à cet instant que je sors de ma cachette, batte levée. Je frappe dans tout les sens, bougeant le plus vite possible pour les empêcher de me viser correctement. Il y en a un qui tombe sous mes coups, je me tourne alors vers les deux derniers. Il sont juste cote à cote, les têtes alignés. Je frappe un grand coup dans leurs tête avec ma batte. Le premier frappé tombe à terre, sonné. Le deuxième est à peine toucher par le coup mais suffisamment pour qu'il tourne la tête sur le coté, sa main plaqué sur sa joue. Je prend appui sur son épaule droite et passe au dessus, usant de mes atouts de gymnaste. Dès que je me retrouve derrière lui, je pointe mon arme dans sa nuque.