XXIV : Eh Jia !

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Il doit avoir un nombre incalculable de fautes...faut que je trouve quelqu'un pour m'aider..hum hum à méditer...aller Bonne lecture les terreurs !

Le restaurant ne s'aperçut pas de la tension qui s'était créé à la table 8.
Le serveur n'osait pas s'approcher pour prendre les commandes, la simple pensée de briser le malaise qui s'était installer entre les quatre individus lui faisait froid dans le dos.
Le pire était les deux jeunes gens, ils se regardaient en chien de faïence, prêt à s'entre tuer au moindre geste, au moindre souffle. Leur yeux renvoyaient une colère sourde. Pourtant on ressentait autre chose entre eux, quelque chose de complètement différents, de plus beau, plus chaleureux: des retrouvailles.
Ils étaient tellement différents mais ressemblant tout autant.
L'un était grand, les cheveux aussi blanc que la neige, les yeux d'un bleu anthracite perçant, jonché d'éclat de verre brillant. Un athlète aux allures de Dieu Olympiens, un être imaginaire, miroir de la perfection humaine.
L'une était tout aussi grande qu'une mannequin, les cheveux ébène, aussi noir que le néant béant de son âme où la lumière était incapables de survivre.
Le teint basané faisant de ses yeux, de billes envoûtante, hypnotisante, d'un gris profond, aussi clair que ces cheveux pouvait être sombre.
Ce contraste consternant rendait la jeune femme ensorcelante et légèrement effrayante mais inexorablement attirante par la même occasion.

Face à face, l'un soutenant le regard de l'autre sans flancher. Les deux adultes eux étaient pétrifiés par la scène qui se déroulait devant eux. Pas par gêne nan plutôt par crainte, la crainte que la situation dégénère, que le contrôle leur échappe. Car si ces deux là explosèrent et cela en même temps...il ne donnait pas chère des conséquences.

Addison et son maris savaient que individuellement ces enfants étaient des terreurs mais à deux ils étaient apocalyptiques et malheureusement pour eux ils en avaient déjà fait l'expérience dans le passé.
Leurs regards se croisèrent et se mirent d'accord, il fallait agir et vite mais il furent stopper par la prise de parole d'un des ados.

Jack pris sa tante Jia par le bras et l'entraina en dehors du restaurant. Au coin du parking.

J: Qu'est ce que tu fous là ? siffla t-il

J*: Et toi alors ? Qu'est ce que tu fous là ?

J: Ce que je fous là ?

J*: Eh oui ! Je vais te rafraîchir la mémoire. Imagine ma surprise quand je rentre de l'Institu pour m'apercevoir que Eh ! Mon frérot c'est fait la malle !
Mais encore ça c'est pas le plus grave. Nan tu rigoles ? Ça c'est rien comparé à ce j'ai appris plus tard.

J: Qu'est ce que t'a appris ? Répond t- il avec un ton de défi.

J* : La raison de ta présence ici. Loin de chez toi, de ton pays natale.
La raison qui a conduit maman à t'éjecter dans un avions ! T'es pas venu ici en vacances hein !? Ni pour suivre des études à l'étranger.
C'est ta punition, t'es en prison voilà ce que j'ai appris.

Le visage de Jack se décomposa, il devint aussi blême que la nappe qui recouvrait la table du restaurant 4 étoiles quelques seconde plus tôt. Il serra son poing par indignation et mécontentement, elle avait tout compris.

J*: Mais le pire dans cette histoire c'est le pourquoi. Enfin le pourquoi du pourquoi. Qu'est ce que t'a fait d'aussi con pour que maman te sanctionne d'une manière aussi radicale. Et j'ai su. Et c'est la raison de ma présence devant toi. Imagine pas que tu vas t'en tirer mon pote. Je vais te dépecer Jack, te massacrer et te ramener à la maison par la peau du cou même à demi mort. Ce que t'as fait, je vais te la faire payer au centuple et maman et pas là pour prendre ta défense !

Jelsa is real. [EN CORRECTION INTÉGRAL]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant