L'odeur. Une odeur d'éther. Voilà sa première impression. Elle discernait aussi des effluves d'eau javel.
L'hôpital.
La dernière fois qu'elle était venus, Jack Frost avait été emmené en urgence. La dernière qu'elle était venu pour elle, c'était pour une entorse. Pourtant elle ne se rappelait pas que l'odeur était si forte. Elle était consciente mais son corps ne voulait plus bouger, ses paupières ne daignait pas s'ouvrir non plus. Pourtant les sons, les odeurs, les mouvements elle pouvait les sentir, les deviner. Il y a du mouvement, il y a plusieurs personne. Elle le sent. Une respiration lente, posée, quelqu'un dort. Des pas, des glissements, quelqu'un est agité. Ils sont deux ? Elle en déduisit deux. Elle veut se lever, comprendre, se situer mais elle a mal. Tellement mal. Pourquoi a t-elle si mal ? Tout son corps était engourdi, tout son corps était chauffé à blanc. Ses muscles étaient contractés tel du béton.
Sa tête était sur le point d'exploser, la douleur arrivait par vague ou par à coup. Elle entendait des cris, des cris d'horreur. Elle entendait des pleurs. On pleur à coté d'elle, on pleur un peu plus loin. Le ciel est sombre. Elle s'en rappel, duu ciel, il était tout autour, il englobait tout. Et l'herbe aussi. Elle sentait l'herbe sous elle.
Et puis, il y a cette voie. Clair, surprise et contrôlé. Ou plutôt ces mots.
"Pousse toi"
D'où viennent ils ? Qui crie ça. Pourquoi était-ce le trous noir après ça.
Elle s'agitait dans son sommeil. Anna Arrend commençait à immerger. Son oncle qui ne tenait plus en place depuis des heures le remarqua aussi tôt. Il vit les paupières de sa nièce cadette papillonner, son corps entier s'agité. Il se précipita alors hors de la chambre pour chercher une infirmière et réveilla le corps recroquevillé sur un siège au côté du lit.
Elsa sursauta et regarda autour d'elle perdu. Elle oublia quelques secondes où elle avait dormi. Elle oublia l'accident, les cris, les pleur et les heures interminables d'inquiétudes. Qu'est ce qu'elle aurait voulu oublier. Oublier tout ce qui s'était passé depuis l'instant même où elle avait vue cette voiture rouler trop vite. Alors quand ces yeux s'était accommodé à la lumière du jour, elle vit sa sœur s'agiter dans ce sommeil qu'elle n'avait pas quitté depuis deux jours.
Elle se releva et se pointa tout à côte d'elle, elle caressa ses cheveux flamboyants en lui chuchotant à l'oreille. Elle tremblait sous la panique et le désespoir. La perspective de perdre sa petite sœur la terrifiait et ses deux derniers jours était l'un des pires cauchemars de sa vie.
E: Oh ma Anna...C'est moi, c'est Elsa. Ma chérie, ouvre les yeux, hein, s'il te plait, ouvre les yeux pour moi. Je suis là, Anna, tous va bien. Tout va bien.
La rouquine s'agita encore, elle gémit dans son sommeil. Puis peu à peu sous les encouragement de sa sœur, elle ouvrit les yeux. La lumière du jour l'agressa et lui brûla la rétine. Quand elle fit un nouvel essaie, elle voyait sa sœur aînée en larme devant elle, elle la serra dans ses bras, répétant sans cesse des mots étouffé de sanglot. Elle avait la gorge si sèche qu'aucun sons sortait de sa bouche. Mais elle se força, ses quelques sons sonnait rauque.
A: Qu'est ce que...passé.
E: Les infirmière vont arriver d'accord, tous va bien se passer.
Anna fronça les sourcils. Pourquoi l'expression de sa sœur avait changé ? Pourquoi elle sentait que ces larmes n'était plus de joie.
A: Elsa...
E: Oh ma Anna...sanglota-t-elle.
Elle ne comprenait pas. Qu'est ce que tout ça voulait dire. Elle essaya de se s'appuyer sur ses bras mais le personnelle de soins arriva et pris en charge la jeune fille. Elle voyait à l'arrière son oncle, les yeux brillant, les yeux fatigué mais un air soulagé. Puis en un dixième de seconde son visage s'assombrit et se teinta d'une immense tristesse en regardant sa petite nièce dans les yeux. Qu'est ce qu'elle devait comprendre ? Qu'elle était le message dans leur prunelle grave et abattu ? Elle avait peur, elle se débattit avec les infirmières puis un flash lui vint en mémoire.
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Jelsa is real. [EN CORRECTION INTÉGRAL]
Teen Fiction-T'es une vrai garce. - Et toi un abruti. -Pourquoi tu ne m'aime pas ? -Pourquoi toi, tu ne m'aime pas ? -Je sais pas... -Si tu le sais... -Montre moi que j'ai tort... -Je t'aime. -...