Tomber amoureuse d'un Bad Boy ! ( EN REECRITURE)

* Chapitre 33 *

Argh ! Cette fille me rend fou !!

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PDV Mélodie :

Je me colle contre le poteau de l'arrêt de bus, attendant mon car à mon tour.
En train de lire un vieux roman d'amour. J'enchaîne les pages rapidement, mais je m'arrête de lire.
Quand je sens deux gros bras derrière moi,  m'encercler la taille, et me coincer  au poteau en métal. Je me débat, et donne des coups de coudes, en arrière et en avant, sans m'arrêter.
Quand je reconnais le parfum qui m'entoure, je cesse de me débattre, et repose ma tête sur le poteau, fixant les deux gros bras musclés, en partie tatouer.

- Qu'est-ce que tu me veut ?

- Je sais que j'ai mâle réagis, la dernière fois a l'hôtel. Mais comprend moi, sa va faire plus d...

- Stop ! J'est compris.
Tu ne veut pas d'un corps inaccessible. Tu en a marre, de ne plus pouvoir te vider dans une vierge. 
Le coupais-je brutalement.

- Non, Mélodie c'est...

- N'essaie pas de te justifier.
Sa ne sert à rien.
Lui dis-je, en levant ma main pour protester.

Maxime retire ses bras de ma taille, et viens se placer face à moi, en traînant des pieds.
Je n'es pas le temps de réagir, qu'il plaque ses lèvres sur les miennes.
Dans un premier temps, je ne répond pas à son baiser, et reste froide. Mais quand il apporte sa douce main à ma joue, et l'autre à ma hanche. Quand il demande accès à ma bouche, je ne lui refuse pas, et répond à son tendre baiser.
On aurai dit qu'il voulait se faire pardonner. Après quelques secondes. L'oxygène nous manques, et nous nous séparons à bout de souffle l'un de l'autre. Tandis qu'il garde ses mains sur mes hanches.

- Pardonne-moi princesse.
J'ai était con. Mais il fallait que sa sorte d'une manière ou d'une autre.

Je soupire, et fixe ses envoûtant yeux sombres qui me transperces.

- Je sais. Mais si la prochaine fois se serait tes sentiments qui parlait au lieu de ton grand serpent, sa m'arrangera.
Dis-je avec humour, en lui esquissant un bref sourire.

- J'essaierais bébé.
Ria-t il.

Il m'embrasse une nouvelle fois. Et me mordille la lèvre inférieure, son haleine  mentholée se mélangeant à la mienne.
Nos langues s'entrelacèrent, et se taquinèrent toute deux.

Mais les paroles de la veille me revinrent vite à l'esprit, gâchant ce moment.

<< Je peut plus te voir !
J'en est marre ! Je ne veut pas d'un corps qui ne pourra jamais être toucher, ni accessible de mes mains. >>

Me rappelant de ses mots, je me retire de lui, le repoussant. Il me regarde bizarrement, et lève les yeux au ciel.
Quelques minutes s'installe entre nous, sans qu'un de nous deux ne parle. Quand Maxime décide enfin de brisé se silence pesant, et embarrassant.

- Bon j'y vais. J'ai assez traînée.
Me dit-il en partant vers sa voiture, sans m'adresser un regard.

Sa ne lui a pas plus se que tu a fait !
Me reproche ma conscience.
Oui je sais.

Voyant Maxime s'éloigner sûrement déçu de mon comportement.
Je replonge mon nez dans mon livre, et continue de lire.

PDV Maxime :

J'arrive à la maison. Claque la porte d'entrée. Et part ranger mes clés dans ma poche, en balançant mon sac de sport, et mon sac de cours, dans le grand hall d'entrée vide.
Élena prépare le repas, je rentre la saluer, en l'embrassant sur la joue.
Et m'écrase sur la chaise haute, de la table en marbre de la cuisine. Je fixe un verre d'eau sur la table, et fronce les sourcils méchamment.

- Qu'est-ce que tu a, Maxime ?
M'interpelle Élena, voyant que quelque chose me contrarie.

- Pourquoi refuse-t elle ?
Marmonnais-je dans ma barbe.

- De qui tu parle ?
Me questionna-t elle, en essuyant un verre, d'un torchon à carreau rouge et blanc.

- Mélodie refuse de coucher avec moi.
Elle a peur de perdre sa foutu virginité.
Sa me soul ! Elle me rend fou !
J'en est marre d'attendre !

- Max. Pour une femme, franchir le grand pas et très dur.
Tu peut essayer de comprendre sa, tu n'es plus un gamin.

- Non, mais je ne suis plus non plus aussi patient qu'avant. Je profite de la vie. Je bois, je fume, je ba...

- Non !
Me coupa-t elle.

Je lui fit les gros yeux en entendant son crie pour me stopper, ne me laissant pas le temps de finir ma phrase.

- Je ne veut pas parler de sa avec mon petit frère. Je sais très bien, se que tu fait depuis un certain temps.
J'en est eu des échos.

- Ah. Et en bien ou en mâle ?
M'intéressait-je à ma réputation de
" dieu du sexe " .

J'ai toujours était douer pour sa.
Sa doit être génétique, de Laval en Laval.

- Eh...en bon, je dirai.
Mais je te stoppe tout de suite.
Je ne veut pas parler de sa avec toi.
Les partis de jambes en l'air...c'est pas trop mon truc...
Je ne multiplie pas les coups d'un soir.

- Ouais. Bah je profite, tu devrais en faire autant sœurette. Au lieu de te contenir que de ton mec la.

- Merci, mais non merci.
Je préfère la fidélité.

La fidélité ? L'amour ? Le respect ?
Ces mots n'on aucun sens pour moi.

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