Tomber amoureuse d'un Bad Boy ! ( EN REECRITURE)

* Chapitre 47 *

Trop tard...

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Je pousse Maxime, mais il est déjà trop tard. Je vomis une nouvelle fois sans pouvoir me retenir, sous les yeux de mon copain. J'ai honte, et mâle.

Je ne peut pas continuer seule. Je dois tout lui dire.

- Oh mon dieu...
S'offusque-t il.

Je ne peut plus m'arrêtais. Maxime vient enrouler mes cheveux autour de sa main, pour m'empêcher de leur vomir dessus.

Je n'en peut plus et j'explose. Tout mes sentiments se déverse. Je pleurs, vomis, tremble, crie.
J'avais retenu sa trop longtemps en moi.

- Mais qu'est-ce qui t'arrive bon sang ?
Je devrais appeler ta mère.

Je ne comprend se qui m'arrive mais en quelques secondes j'entend ma mère mère rentrer dans ma chambre en trombe. Je n'entend plus qu'elle.
Elle m'aide à me calmer, et une fois ma crise passer et ma bouche nettoyer ainsi que mes draps ma mère se pose.

- Sa fait plusieurs fois déjà.

- Où est-il ?
Questionnais-je ma mère sans tenir compte de sa phrase.

- En bas. Je lui est demander de sortir en te voyant dans cette état. Il ne m'a pas tenu tête et est partis.

- Je ne veux plus le voir.

- Comment sa ?
S'offusque-t elle, on fronçant les sourcils méchamment.

- J'ai honte. Je lui est pratiquement vomis dessus. Et j'ai vu qu'il était dégoûter de moi quand il m'a vu dans cette état.

- Détrompe- toi, il était surtout très inquiet. Et voulais rester dans le couloir, mais je lui est demander de descendre. Il est venu pour toi, alors ne joue pas à l'enfant. Si tu ne veut pas lui dire, c'est moi qui vais le faire. Il faut qu'il sache qu'il va être papa. Il est responsable de cet enfant.

- Non !
M'écriais-je.

Ma mère me regarde et m'interroge du regard.

- Tu va lui dire.
M'ordonne-t elle.

Je pensais que ma mère serai plus compréhensible, et qu'elle serai de mon côté.

Je me tue, et joue avec mes doigts nerveusement.

- Il peut monter.

Ma mère disparaît de ma vue, et dans l'instant qui suis j'entends de lourd pas monter les escaliers rapidement.

La tête inquiète et troubler de Maxime apparaît dans l'embrasure de ma porte de chambre.

- Comment ça va princesse ?
Me demande-t il en accourant à mon lit tel un prince charmant.

Après tout c'est se qu'il est à mes yeux.

- Bien.
Répondis-je vaguement en fuyant son regard intensément sombres.

- Je t'es rarement vu aussi mâle.
Et je ne t'es jamais vu me mentir aussi mâle et avec autant d'insistance.

Mes yeux le fixe directement. Il a deviner mon petit manège. Je dois assumer à présent, et tout lui avouer.

- Max' ...je ne sais pas comment te le dire mais...

- Mais ?
Me pressa-t il les yeux grand ouvert.