* Chapitre 38 *

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PDV Maxime :

Un frisson me parcours le corps.
Me demandant d'où il provient j'ouvre mes yeux. Je tourne ma tête vers Mélodie, qui retraçait mes tatouages du bout de ses doigts.

- Pardon, je ne voulais pas te réveiller.
S'excusa-t elle, avec un petit sourire.

- Comment va tu princesse ?

- Bien, pourquoi ?

- Il serai fort possible que pendant plusieurs jours, tu est mal à l'entre-jambe. Et que tu es des ouvertures douleur ruses au niveau des cuisses.

- Comment sais-tu ça ?
Tu es ginéco ? Ou médecin ?

- Non.
Mais tu était beaucoup trop étroite.
J'ai dû forcer l'entrée, pour pouvoir entrer en toi. Je n'es jamais eu autant de mal à entrer dans une fille.
Et c'est donc pour sa que tu aura sûrement de grosse douleur vers ton entre jambe.

- Sa veut dire quoi sa ?
En gros je suis pas assez bien foutu ?
Pas assez large ?

- Mais non princesse.
Tu es parfaite.
Tu es différente des autres, c'est se qui fait ton charme.
C'est pour sa que je suis tomber dans tes filets.

- Toi ? Tomber dans mes filets ?
Le grand Maxime peut tomber dans les filets d'une fille aussi banal que moi ?
Ricana-t elle, en me taquinant.

- Et oui malheureusement.
Lui chuchotais-je, en l'embrassant dans le cou.

C'est dingue comme cette fille m'excite !

Je n'aurai pas dû autant forcé.
C'était sa première fois, et je lui est causer de grosses déchirures, qui l'a feront souffrir pendant un long moment. Mais sa fessait tellement longtemps que je n'avais pas baiser. Il fallait bien que j'évacu tout. Sa devenait trop lourd pour moi.

- Princesse, tu m'a offert le plus beau cadeau d'anniversaire que j'aurai pu rêver hier soir.
Lui chuchotais-je au creux de l'oreille, en lui embrassant le front.

Elle me souris, et caresse mon torse de ses petites mains toute douces.
J'agrippe les draps, et les froisse fortement. Je ressens le besoins de toucher sa peau, pour me soulager.
Se que je fait, j'attrape fermement sa cuisse, et la serre dans ma main.
Mélodie me lâche un irrésistible gémissement, qui m'a rappelait les petites cries de jouissements que Mélodie pousser hier. Mais si je ne savais pas me retenir j'aurai était capable de lui refaire l'amour comme un sauvage. Mais je ne voulais pas la brusquer, surtout qu'elle avait mâle.

- Bon habille-toi bébé, je te ramène chez toi.

- D'accord.
Me souris-t elle, en m'embrassant la joue, avant de se relève du lit, accompagner d'un léger gémissement de douleur.

En la voyant partir, ma main s'abat sur ses fesses, et je ris face à son regard choqué.

PDV Mélodie :

Je ramasse ma robe d'hier, et marche jusqu'à la salle de bain, qui se trouvais à l'autre bout du couloir. J'ai mâle. J'ai tellement mâle. Mais c'était si...magique !!

Ah mon dieu ! Hier était juste parfait. Des images de son corps parfait me revienne toutes les secondes.

À chaque pas que je fait, j'ai l'impression que mes jambes vont me lâcher. Et que m'a peau va se déchirer en deux. Je sens ma peau se déchirer, et un liquide chaud s'écouler de ma peau.
Du sang ?

Oh non !

Je pars prendre une douche pour me nettoyer. Le sang coule abondamment dans la baignoire blanche.

Tomber amoureuse d'un Bad Boy ! ( EN REECRITURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant