Tomber amoureuse d'un Bad Boy ! ( EN REECRITURE)

* Chapitre 46 *

Je me réveille petit à petit...je sens quelque chose d'humide sur mon front.

Je sens une douce respiration sur mon visage. J'ouvre les yeux et ma mère me souris tendrement.

- Ça va ma chérie ?
Me chuchote doucement ma mère, en caressant de son pouce ma joue.

Je grimace et me rassoie doucement sur le lit. Je cale mon dos contre le dossier de mon lit et passe mes mains sur mon visage. Je suis sonnée et complètement perdu.
Comment ceci a pu m'arriver ?
Je pensais que ce genre de chose n'arrivais qu'au lycéens dans mes séries ou dans les livres d'amour entre adolescents.

- Maman...
L'appelais-je la voix tremblante.

Elle me regarde avec tristesse, et tente de me rassurer avec un petit sourire Angélique dont toute les mères ont le secret.

- Tout va bien ma puce.

- J'ai...j'ai peur...
Bredouillais-je les larmes au yeux.

- Tu va lui dire, n'est-ce pas ?
Me questionne ma mère inquiète.

- Non ! C'est déjà très dure pour moi de me savoir enceinte. Mais lui avouer qu'il sera père ne sera que plus horrible pour moi. Je suis sur qu'il ne veut pas d'enfant. Et je ne veux pas qu'il m'abandonne a cause de cette chose qui se développe dans mon ventre.

Maxime ne serai pas d'accord pour élever un enfant. Je sais déjà qu'il dirai :
<< Mais je m'en fou ! Tu comprend pas, j'ai besoin de profiter de la vie, et un môme dans mes pattes ne fera que gâcher ma vie !! Autant pour toi que pour moi !! Avorte bon dieu !! C'est mieux pour tout le monde. Nous ne sommes pas près. >>

Puis il claquerait la porte et partirait furieux. Je me lamenterais sur mon sort et m'écroulerais en larmes dans mon oreiller en forme de banane.

Pourquoi ? Pourquoi moi !?

- Mélodie. Tu dois lui dire.
Il doit assumer ses actes. Il est le père de cette enfant qu'il le veuille ou non.
Dis ma mère d'un ton strict avant de me sourrir de nouveau.

- Laisse-moi du temps. Il est sensée venir...je...je vais essayer de lui en parler...

A peine ma phrase terminé que la sonnette de la porte d'entrée retentis dans la maison.

Merde ! C'est sûrement lui.

Ma mère me sourit et se lève afin d'aller ouvrir à mon petit copain, qui doit sûrement attendre devant la porte.

- maman...
Soufflais-je a peine audible.

Elle se retourne et fixe la porte avant de se retourner vers moi.

- Maxime comprendra.
La décision vous reviendra ma chérie, vous devrez la prendre à deux.

C'est avec ces derniers mots que je l'a vois disparaître de mon champ de vision. Elle descend donc les escaliers et pars lui ouvrir.

Qu'est-ce que je vais faire maintenant ? Lui dire ? Ou pas ?

Je verrai le moment venue. Sa ne sert à rien de m'affoler comme sa, sa se trouve je ne lui dirai pas.

Mais si je ne lui dis pas je devrais bien prendre une décision... Avorter ? Non se n'es sûrement pas la bonne solution.
Mais le garder serai aussi détruire une partie de ma vie. Mais cette enfant viens de Maxime et une envie incontrôlable me pousse à vouloir le garder à tout pris. Il est à moi après tout. Mais mon père n'acceptera jamais mon choix.

Des bruits provenant de derrière ma porte de chambre me stoppe dans mes pensées. Je replace une de mes mèche de mes cheveux derrière mon oreille, je me redresse sur mon lit, lisse ma couette, et inspire un grand coup avant de sortir un petit " entrer "  de mes lèvres tremblantes.

Oh non mon dieu !!

Je regrette vite avoir dis sa quand je pense à mon haleine. Elle doit être affreuse vu que j'ai régurgiter mon repas. Je pris au fond de moi pour éviter que Maxime vienne m'embrasser. Il ne comprendrait pas pourquoi je le repousse et me poserait des questions en s'inquiétant. Et se n'es pas se que je souhaite. J'ai déjà assez de problèmes comme sa.

Maxime entre doucement dans ma chambre sans un mot. Il referme la porte derrière lui, et viens s'assoir au bord de mon lit. Il caresse mes jambes par dessus mes draps et me souris.

- Ça va ?

Je ne répond pas et baisse la tête.

- Tu es encore coucher ? Tu es malade ?

- Non !
M'emportais-je. Je me modis la minute d'après d'avoir dis sa. Je vais avoir le droit à l'interrogatoires

- Tu es toute pâle. Tu a de la fièvre ? Pourquoi tu à élever la voix ? Quelque chose t'affole ?
Me questionne-t il en venant poser sa grande et chaude main sur mon front.

Je voulais éviter qu'il fasse ça, mais il a été plus rapide que moi. Et que mes sens.

- Tu es brûlante, pâle, et tu a l'air morte de fatigue ces derniers temps.
Qu'est-ce qui t'arrive ? Tu peut tout me dire tu sais.

Je regrette, mais sa je ne peut pas.

- Rien.
Marmonnais-je à voix basse.

- Ne me ment pas. Tu sais très bien que j'ai horreur de sa.

Mes lèvres se mirent à tremblais à se moment même. Une boule se forme dans mon ventre. Ne me dites pas que sa revient !! Non, non, non !
Pas maintenant !

Trop tard...