* Chapitre 48 *

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- Tu l'accepterai si...il exister ?

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- Oui. Je serai près à assumer mon rôle de père auprès de cet enfant. Mon enfant. Notre enfant. À toi et à moi.
M'avoue-t il avec un faible sourire.

- J'ai peur...
Balbutiais-je.

La main de Maxime se porte a ma joue et la caresse doucement avec douceur.

- Je suis la. Ne t'inquiète pas. Je serai toujours la.

Je le remercie d'un bref sourire et me tourne vers mon lit.

- Je vais aller dormir. À demain.
Le saluais-je embrassant brièvement ses lèvres.

- Mais il n'es que 15h45. Tu es si fatiguée que sa ?

- A demain Maxime.
Dis-je en le fessant sortir de ma chambre.

Une fois la porte refermer, et que j'entends ses pas descendre les escaliers. Je me blottis dans mes draps et ferme les yeux. J'ai besoin de réfléchir. Morphée ne se fait pas prier et m'aide à me reposer.

****

Aujourd'hui est le jour qui changera peut être mon avenir pour toujours.

Es-que je suis destiner a être jeune maman comme on vois dans ces livres pour adolescent, et vivre avec Maxime ?

Ou continuer à faire mes études et avoir plus tard un beau métier ?

Je ne sais pas pourquoi mais aucunes de ces deux approches ne me tente.

Il est 13h. J'ai finis de manger, je monte le préparer et sorts de chez moi avec une boule au ventre. Je compose le numéro de mon copain les mains moites, le corps tremblant comme une feuille. Il me répond à la deuxième sonneries et me dis qu'il est en chemin.

Je vois une belle décapotable noir arriver doucement dans ma rue. Maxime abaisse sa vitre et me fait signe de monter en vitesse. Je me presse et ouvre rapidement la portière pour la claquer une fois à l'intérieur.

Je ne prononce aucun mot, Max' démarre au cart de tour, direction le centre-ville. L'atmosphère dans la voiture est palpable, je me sens mâle mais tente un regard dans sa direction que je regrette aussi vite. Maxime me lance un regard noir et se reconcentre sur la route, les mains crispées sur le volant en cuir noir. Les muscles de tout son corps son tendus, j'ai même crus que ses veines aller exploser tellement qu'elle ressortaient de sa peau.

Mais je ne peut plus supporter ce silence, j'ai bien vu son regard me défendre de parler, mais je le fait
malgré tout.

- Tu a acheter une nouvelle voiture ?

- Ouais.
Me répond-t il durement.

- Tu a bien fait. Elle est vraiment belle.
Souris-je.

Je le vois appuyer brusquement sur l'accélérateur. Je continue la conversation seule, essayant de déclenchais quelque chose chez lui.

- Il est arriver quelque chose à ton ancien bijou ? Elle t'a coûter chère ? Tu ne m'avais pas dis que tu voulais t'en acheter une autre. Sinon...

Maxime appuie bruyamment son pied sur le freins et me foudroie du regard.

- MAIS TU PEUT PAS LA FERMER BON DIEU !?

Je me fait toute petite, et baisse les yeux. Je m'enfonce un peu plus dans mon siège et me triture les doigts nerveusement. Mon copain, si je peut l'appelais comme sa redémarre sans aucun mot. C'est tendu entre nous. Je me sens mâle, et commence à avoir du mâle à respirer. Jusqu'au moment où je n'entend plus le moteur. Nous somme arrivés à destination.

- Va chercher ton machin, va au toilette et rejoins moi dans la voiture. Je veux que tu le jette avant. Cette objet ne rentre pas dans ma voiture. Tu fait le teste avant et tu le jette. Compris ?

J'hoche la tête et retiens une larme. Je quitte la voiture et commence à courir vers le magasin. Dès que Max' ne peut plus me voir, je change de chemin et mars dans une petite ruelle.

Je ne peut pas. Je ne peut pas. J'ai bien vu qu'il se retenais de me frapper tout à l'heure, dans la voiture.

Je ferais peu t'être mieux de disparaître de sa vie. Mais avant je dois faire ce foutue teste. Je voyais bien que aujourd'hui Maxime été different, il n'étais plus le petit ami attentionnée et soucieux de sa copine comme hier.

Je prend donc mon courage à deux mains et sort de cette ruelle pour entrer dans le magasin. Je demande un teste de grossesse à une jeune femme rousse. Elle mes souris tendrement, je la paie mais elle me retiens quand elle aperçois une larme rouler sur ma joue.

- Mademoiselle. Vous êtes toute pâle. Venez.

Je la suis. La jeune pharmacienne me conduis dans une salle vide. Je verse toute mes larmes et lui explique pourquoi je suis dans cette état, et se qui m'arrive. Elle finis par me conseiller et me souhaite bon courage.

Je me dirige enfin vers les toilette public et rentre dans une cabine. Je déchire l'emballage, lis la notice et fait se que j'ai à faire. Je pose le teste sur le rebord du lavabo et attend le verdict.

Je tremble...ma vision de trouble quand je vois le verdict du test, je me jette sur la poignée de la porte avant de tomber dans les pommes.

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Tomber amoureuse d'un Bad Boy ! ( EN REECRITURE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant